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jesus christ

  • 5 février

    medium_Eucharistie3.jpgLa Sainte Eucharistie contient tout le trésor spirituel de l'Église, c'est-à-dire le Christ lui-même, lui notre Pâque, lui le Pain Vivant, lui dont la chair, vivifiée par l'Esprit Saint et vivifiante, donne la vie aux hommes. Concile Vatican II, décret sur la vie et le ministère des prêtres <em>Presbyterorum ordinis</em>, n° 5.



  • 1er fevrier

    medium_TherseEnfantJesus3.2.jpgJe me figure mon âme comme un terrain libre et je prie la Sainte Vierge d'ôter les décombres qui pourraient l'empêcher d'être libre, ensuite je la supplie de dresser elle-même une vaste tente digne du ciel, de l'orner de ses propres parures et puis j'incite tous les saints et les anges à venir faire un magnifique concert. Il me semble lorsque Jésus descend dans mon coeur, qu'Il est content de se trouver si bien reçu et moi je suis contente aussi.


    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la sainte Face, Manuscrits autobiographiques.

  • 31 janvier

    medium_JCetCroix.2.jpgLoin d'être à jamais démodée et dépassée, la religion de la Croix, dans son intégralité, est cette perle de grand prix dont l'acquisition justifie plus que jamais le sacrifice de tout ce que nous possédons.

    René Girard.

  • 30 janvier

    medium_JCentreeJerusalem3.jpgL'essence du christianisme n'est pas une idée ,mais une Personne. Le christianisme est avant tout d'abord un événement, une Personne. Et dans la Personne, nous trouvons ensuite la richesse des contenus.

     

    Benoît XVI, Discours à l'issue de la recontre avec le clergé de Rome, 13 mai 2005 

  • 14 janvier

    C'est précisément le fait de se cacher qui constitue la plus éloquente "manifestation" de Dieu:  l'humilité, la pauvreté, l'ignominie même de la Passion nous font découvrir comment Dieu est réellement.

    Benoît XVI, homélie, 6 janvier 2006.

  • 8 janvier

    L'Église ne meurt pas : elle ne fait que revivre la Passion du Christ, et après la Passion, il y a de nouveau la Résurrection, qui se manifeste là où on ne l'attend pas et quand on ne la prévoit pas.

    Denis Lensel, Insupportables catholiques ! Paris, 2006, p. 176.

  • 31 décembre

    Quelques pieux exercices, qui marquent la date du 31 décembre, ont la piété populaire pour origine. Dans la plus grande partie des pays occidentaux ce jour coïncide avec la fin de l’année civile. Cette fête conduit les fidèles à méditer sur le « mystère du temps » qui passe à la fois rapidement et inexorablement. Cette réflexion suscite en eux les deux réactions suivantes : tout d’abord, un sentiment mêlé de repentir et de regret pour les fautes qui ont été commises, et pour toutes les occasions de vivre dans la grâce de Dieu, qui ont été perdues durant l’année qui s’achève ; ensuite, le désir de remercier Dieu pour tous les bienfaits reçus de lui.
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    Cette double attitude a donné naissance respectivement à deux pieux exercices : d’une part, l’exposition prolongée du Saint-Sacrement qui permet aux communautés religieuses et aux fidèles de bénéficier de longs moments de prière, surtout silencieuse ; d’autre part, le chant du Te Deum, qui exprime la louange et l’action de grâces des fidèles pour tous les bienfaits obtenus de Dieu durant l’année qui va s’achever.
    Dans certains lieux, surtout dans les communautés monastiques et dans les associations de laïcs, dont la spiritualité accorde une place importante à la dévotion eucharistique, la nuit du 31 décembre est marquée par une veillée de prières, qui s’achève par la célébration de la Sainte Messe. Il convient d’encourager l’organisation de telles veillées ; toutefois, celles-ci doivent être célébrées en tenant compte des éléments liturgiques de l’Octave de Noël ; de plus, elles doivent être conçues non seulement comme un acte de réparation tout à fait juste face à l’insouciance et à la débauche, qui marquent le passage d’une année à l’autre, mais encore comme une veillée offerte au Seigneur pour les prémices du nouvel an.

    Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°114.

  • Noël

    Partout dans le monde, les chrétiens se recueillent en ce jour pour célébrer la naissance — la Nativité — d’un enfant, Jésus de Nazareth, qui allait se révéler être le Messie annoncé par les prophètes d’Israël, Celui qui devait venir racheter son peuple de ses péchés. C’est la naissance de celui qui est Dieu lui-même, le Fils de Dieu, qui veut naître aussi dans l’âme des hommes et y régner, ainsi que (lire la suite)

  • Nuit de Noël

    Entre les premières Vêpres de Noël et la célébration de la Messe de minuit, les nombreuses expressions de la piété populaire, diverses selon les pays, comprennent en particulier la tradition des chants de Noël, qui contribuent à transmettre le message de joie et de paix propre à cette solennité. Or, il est opportun de valoriser ces différentes expressions et, le cas échéant, de les harmoniser avec les célébrations de la Liturgie. Il convient de citer, par exemple :
    medium_Crechevivante.jpg— la représentation des « crèches vivantes » (lire la suite)

  • L'obéissance de Jésus

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    « À faire ton bon plaisir, mon Dieu, je me complais » (Psaume 40 [39], 9). « Il dit : Voici que je viens pour faire ta volonté » (Hébreux 10, 9). Le Christ pour nous « s’est fait obéissant jusqu’à la mort, et à la mort sur la Croix » (Philippiens 2, 8).
    Jésus-Christ « était soumis » (Luc 2, 51) à ses parents (lire la suite)