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Spiritualité - Page 52

  • Amis de Dieu

    LA PRÉSENCE DU CHRIST DANS LE MESSAGE DE SAINT JOSÉMARIA ESCRIVA, FONDATEUR DE L’OPUS DEI (suite et fin)

    Être des contemplatifs au milieu du monde. Tout ce que nous avons dit précédemment de la vie du chrétien se ramène constamment à la divinisation, à ne faire qu’un avec Jésus-Christ, à être un alter Christus, ipse Christus (lire la suite)

  • Le Sacré Cœur de Jésus

    LA PRÉSENCE DU CHRIST DANS LE MESSAGE DE SAINT JOSÉMARIA ESCRIVA, FONDATEUR DE L’OPUS DEI (suite)

    Le Cœur très Sacré de Jésus. La sainte Plaie ouverte dans le côté de Jésus donne directement accès à son Cœur, humain et divin, ce « Cœur du Christ, paix des chrétiens », (lire la suite)

  • La sainte humanité du Christ

    LA PRÉSENCE DU CHRIST DANS LE MESSAGE DE SAINT JOSÉMARIA ESCRIVA, FONDATEUR DE L’OPUS DEI (suite)


    La très sainte Humanité de Jésus-Christ. Par conséquent, le chemin royal que les chrétiens sont invités à suivre est celui de la très sainte Humanité de Jésus. (lire la suite)

  • La sainte humanité du Christ

    7. La sainte Humanité du Christ (suite et fin)

    * Le Cœur du Verbe incarné. Jésus a aimé tous les hommes d’un cœur humain. « Le Fils de Dieu m’a aimé et s’est livré pour moi » (lire la suite)

  • L'humanité du Christ

    6. La sainte Humanité du Christ (suite)

    * La grâce du Christ. Par son union à la divinité, l’âme humaine du Seigneur a eu la plénitude de la grâce sanctifiante dès le premier moment ()

  • Sainte Catherine de Sienne


    L’Église célèbre aujourd’hui sainte Catherine de Sienne, une des nombreuses figures féminines qu’elle donne en exemple aux fidèles.
    Catherine est née à Sienne, en Italie, le 25 mars 1347. Elle était le vingt troisième enfant (lire la suite)

  • Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge

    Le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge

    La première édition de cet ouvrage date de 1843, alors qu’il a été rédigé par saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716) décédé près de cent trente ans plus tôt. Le titre a été imaginé par l’éditeur et ne correspond en réalité (lire la suite)

  • Le regard de Jésus sur Marie

    Marie

    Marie

    Jésus l’a regardée avec une admiration
    Pendant toute sa vie, attendri pour de vrai
    De son humble et sûre aide et contribution
    À nous libérer du péché, nous délivrer.
    Jésus, depuis qu’il s’est éveillé à la vie,
    Observe sa mère en qui il voit le modèle
    D’une âme que le feu de son Esprit havit
    Et qui, l’existence durant, reste fidèle.
    Elle est la femme du « oui » inconditionnel
    Qui, le Samedi saint, se place en sentinelle,
    Prenant sous son manteau l’Église en gestation,
    Devenue tabernacle en édification.
    Jésus-Christ dévisage la si pleine de grâces,
    Associée à son œuvre pour qu’elle aussi terrasse
    Le Prince de ce monde, et qu’elle provoque
    La sainteté par vague à toutes les époques.
    Il voit l’or des vertus qui resplendit en elle,
    Reflet des perfections infinies du Seigneur,
    Il se complait dans cette distinction solennelle,
    Qui la gratifie d’une perfection supérieure.

    * * *

    À-demi aveuglé, tu aperçois ta Mère.
    Hélas, son doux visage t’apparaît déformé,
    Pourtant c’est bien Elle, vision douce et amère,
    Celle qui dans son sein virginal t’a formé.
    La vision que, du gibet, tu as de sa Mère,
    Douce consolation dans ces heures amères,
    Mêle complicité et robuste empathie,
    Liniment calmant les tourments dont tu pâtis.
    Puisant dans les rares énergies qui te restent,
    Ému par cet amour que nul ni rien n’arrête,
    Tenant ton frêle souffle tout près d’être asphyxiée,
    Tu ouvres encore ta bouche de supplicié :
    « Mère, voici ton fils », dis-tu en montrant Jean.
    « Quoi, un pécheur à la place du Rédempteur !
    Ô mon Unique, comme tu sais être exigeant !
    Tu n’avais plus que moi. Je te dis « oui » sur l’heure. »
    Possédant l’accord dont tu n’avais pas douté,
    Puisque Marie ne t’a jamais rien refusé,
    Tu te tournes vers le disciple chouchouté :
    « Voici ta mère, prends d’elle un soin empressé. »
    À partir de ce jour-là, Jean la prit chez lui,
    Trouvant en elle non seulement un appui
    Mais une Éducatrice pour découvrir son Fils
    En tout présent et se réjouir des sacrifices.



    Dominique LE TOURNEAU

    Extrait d’un poème inédit Le Regard.

    La reproduction est autorisée à condition d’en indiquer la provenance. Il est possible de donner aussi l’adresse de ce bloc-note (vulgo dicto « blog »)

  • Les 7 paroles du Christ en Croix




    Les sept paroles du Christ en Croix

    La tendresse du Christ a cette intensité
    Qu’il crie : « Père, pardonne-leur tous, car ils ignorent
    Ce qu’ils font », par faiblesse, aussi par cécité,
    Et qu’en péchant, c’est toi, leur Dieu, qu’ils déshonorent.

    « Ne leur tiens pas rigueur, car c’est pour eux que j’offre
    Ma vie dans la joie et avec empressement,
    Truffant de mes mérites conjecturés tes coffres
    Afin que soit possible leur rétablissement. »

    Prête l’oreille à ce cri déchirant : « J’ai soif ! »
    Cette plainte pourrait lui servir d’épitaphe,
    À lui qui s’est dit la source d’eaux jaillissantes,
    Source d’une vie qui sans cesse est renaissante.

    Du haut de la Croix nous recevons une mère,
    Quand Jésus dit à sa Mère : « Voici ton fils ! »
    Désignant Jean, présent à cette crise amère.
    Et c’est un des fruits du suprême Sacrifice.

    Quand le Christ s’adresse à Dimas en lui disant :
    « Aujourd’hui même tu seras au paradis »,
    Mon cœur tressaille, lui qui est si refroidi,
    Car il aspire à cet estimable présent.

    En Croix, notre rédemption touche enfin à son terme,
    Comme Jésus l’affirme : Tout consummatum est.
    Oui, c’est le Fils de Dieu lui-même qui l’atteste.
    Il remet son esprit, et la bouche se ferme.

    « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
    Qui peut comprendre cette plainte si déchirante,
    D’une âme délicate, mais qui est expirante,
    Donnant sa vie pour que nous soyons pardonnés ?

    Père, « entre tes mains, je dépose mon esprit ».
    J’ai exécuté la mission par toi confiée.
    J’abandonne ce monde dont je suis incompris,
    Et je meurs pour que par toi il soit justifié.

    Ton envie de souffrance a été satisfaite,
    Tes ennemis festoient, Seigneur, et font la fête.
    Moi-même, je l’avoue, j’ai dû participer
    À ces atrocités, comme un émancipé

    Dominique Le Tourneau

    (extrait d’un texte inédit « La Croix ». Reproduction autorisée avec mention de la source)



    Dominique Le Tourneau

    (extrait d'un poème inédit, "La Croix". Reproduction autorisée en mentionnant la source)

  • La Passion et saint Marc (3)

    Nous retrouvons saint Marc pour le récit de la Passion de notre Seigneur que j’ai imaginé de mettre sur ses lèvres (suite et fin).


    Après une pause, Marc reprend son récit.
    — « Je vous disais donc que nous avons fait l’expérience de la toute-puissance de Dieu après son arrestation (lire la suite)