Les prières servent pour obtenir de Lui (de Dieu) les biens qu’il a prévu devoir accorder à ceux qui le prieraient.
Saint Augustin, La Cité de Dieu 5, 10.
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Les prières servent pour obtenir de Lui (de Dieu) les biens qu’il a prévu devoir accorder à ceux qui le prieraient.
Saint Augustin, La Cité de Dieu 5, 10.
Il importe d’encourager les membres de la famille à la pratique des sacrements et à l’habitude de la prière quotidienne personnelle afin que chacun puisse tirer de la rencontre avec Dieu tant la lumière intérieure pour mieux comprendre que la force spirituelle pour traduire avec cohérence dans la vie le dessein de Dieu sur la famille.
Jean-Paul II, Discours aux évêques de la Ligurie, 8 janvier 1982.
La prière ? C’est la force de l’homme et la faiblesse de Dieu.
E. Suhard, cité dans J. Vinatier, Le Cardinal Suhard, l’évêque du renouveau missionnaire (1874-1949), Paris, Le Centurion, 1983, p. 97.
Le fait que Dieu sache ce dont nous avons besoin, ne doit pas nous retenir de nous adresser à lui pour formuler nos besoins. « Serait-il mieux, par hasard, se demande sainte Thérèse d’Avila dans sa prière, de taire mes nécessités et d’attendre que vous y apportiez un remède ? Non certes, car vous, mon Seigneur et ma consolation, sachant combien elles devaient être nombreuses, et la consolation que nous aurions à vous les exposer, vous nous avez dit de demander, car vous ne manqueriez pas de donner ».
Sainte Thérèse d’Avila, Exclamations 5.
Immenses, mes bien-aimés, et au-delà de toute expression humaine les dons qui nous sont faits aujourd’hui par le Dieu Philanthrope ! A cause de ces dons, réjouissons-nous tous, et bondissons de joie, chantons des hymnes à notre Maître ! Car le jour d’aujourd’hui est fête et solennité. De même que dans la succession des saisons et des solstices l’un fait suite à l’autre, de même, dans l’Eglise, une fête à l’autre s’enchaîne et toutes se font de nous un échange réciproque. Naguère donc, nous avons fêté la Croix, la Passion, la Résurrection, ensuite le retour au ciel de notre Seigneur Jésus-Christ ; aujourd’hui enfin nous aboutissons au terme de ces biens, nous touchons à la métropole des fêtes, nous atteignons le fruit de la promesse du Seigneur.
Saint Jean Chrysostome, Homélie 2 sur la Pentecôte 1.
Combien de fois le smoking ne m’a-t-il pas paru un cilice, et j’aurais préféré un rocher au milieu de l’océan Pacifique à cette place d’honneur à un dîner officiel où il m’est arrivé de dire mon chapelet sous la nappe entre deux femmes de sénateurs américains !
P. Claudel, Fulgens corona.
A moins d’un grand miracle, sans prière on en vient à tomber dans le péché mortel.
Saint Alphonse-Marie de Liguori, cité par Dom Chautard, L’Âme de tout apostolat.
A l'école de la foi, nous apprenons que le même Sauveur a voulu et disposé que les humbles et précieux sacrements de la foi soient ordinairement les moyens efficaces par lesquels passe et agit sa puissance rédemptrice. Il serait donc insensé et pas seulement présomptueux de vouloir laisser arbitrairement de côté des instruments de grâce et de salut que le Seigneur a institués et, en l'occurrence, de prétendre recevoir le pardon sans recourir au sacrement institué par le Christ précisément en vue du pardon.
Jean-Paul II, exhortation apostolique Réconciliation et pénitence, 2 décembre 1984, n° 31.1.
Sainte Gertrude demandait un jour au Sauveur : « D'où vient que ma prière est si rarement efficace ? » Jésus lui répondit : « Si je ne t'écoute pas toujours selon tes désirs, moi qui suis la Sagesse, c'est que j'ai toujours ton bien en vue. Aveuglée comme tu l'es par la faiblesse humaine, tu ne peux discerner le bien véritable. »
« Pourquoi vais-je à mon Père ? Parce que mon Père est plus grand que moi. Tant que vous m’avez encore sur cette terre, ce qui vous frappe c’est la supériorité de mon Père sur moi. Il faut que je me dérobe à vos regards ; il faut que cette chair mortelle que j’ai prise par amour pour vous, mortels, cesse d’être visible aux yeux des hommes ; il faut vous habituer à ne plus voir ce vêtement dont je me suis couvert par humilité ; je l’emporte cependant jusqu’au ciel, pour vous apprendre ce que vous avez-vous-mêmes à espérer.
Saint Augustin, Sermon 264, 4.