En 1947, dans le Wadi Qumran, près de la mer Morte, furent découvertes dans onze grottes des vases en argile qui contenaient un bon nombre de documents écrits en hébreu, en araméen et en grec. On sait qu’ils furent rédigés entre le IIème siècle avant Jésus-Christ et l’année 70 après Jésus-Christ, année de la destruction de Jérusalem.
On a recomposé environ 800 écrits à partir des milliers de fragments, étant donné que très peu de documents nous sont parvenus complets. On y trouve des fragments de tous les livres de l’Ancien Testament, (lire la suite)
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Qu'apportent les manuscrits de Qumran ?
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Les différences entre les Évangiles canoniques et les évangiles apocryphes
La première différence que nous pouvons constater, étant donné que le fait que les Évangiles canoniques sont inspirés par Dieu n’est pas vérifiable, est de type externe aux Évangiles eux-mêmes : les Évangiles canoniques appartiennent au canon biblique, pas les évangiles apocryphes. Cela veut dire que les Évangiles canoniques ont été reçus comme une tradition authentique (lire la suite)
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La crédibilitéde la Bible
Les livres de la Sainte Écriture enseignent fermement, avec fidélité et sans erreur, la vérité dont Dieu a voulu qu’elle soit consignée par écrit pour notre salut. Elles parlent donc de faits réels.
Mais les faits peuvent être exprimés en vérité en ayant recours à des genres littéraires différents, et chaque genre littéraire a son style propre pour raconter les choses. Par exemple, (lire la suite) -
Un livre tonifiant
Je conseille la lecture du livre de Janne Haaland MATLARY, Quand raison et foi se rencontrent, publié par les Presses de la Renaissance en 2003. L'auteur est norvégienne, issue d'un milieu luthérien, mais personnellement agnostique, c'est-à-dire étrangère à la connaissance de Dieu, dans un pays où le catholicisme était considéré avec mépris (lire lasuite) -
Opus Dei : enquête sur un monstre
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Da Vinci Code et l'Église catholique
J’ai mis sur mon site dominique-le-tourneau un article que je viens de publier en Belgique sur le Da Vinci Code et l’Église catholique. Il comprend deux parties, la première étant un résumé du livre et donc du film, la seconde réfutant les principales erreurs au sujet de l’Église.
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Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge
Le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge
La première édition de cet ouvrage date de 1843, alors qu’il a été rédigé par saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716) décédé près de cent trente ans plus tôt. Le titre a été imaginé par l’éditeur et ne correspond en réalité (lire la suite) -
Séparation et paroisses de Paris
Parmi les nombreux ouvrages parus à l’occasion du centenaire de la Loi du 9 décembre 1905 portant Séparation des Églises et de l’État, je voudrais signaler un livre un peu particulier qui a pour mérite de présenter la façon dont la séparation a été vécue sur le terrain, concrètement à Paris.
L’ouvrage, dû à Jacques Sévenet, est intitulé Les paroisses parisiennes devant la séparation des Églises et de l’État 1901-1908. Il a été publié chez Letouzey & Ané en novembre 2005, avec une préface de Valentine Zuber (lire la suite) -
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Le dernier numéro de la Revue d’Histoire de l’Église de France 91 (2005), p. 407-412 publie deux recensions que j’ai rédigées de deux ouvrages récents sur la spiritualité de saint Louis-Marie Grignion de Montfort :
E. RICHIER, La pédagogie de sainteté de saint Louis-Marie Grignion de Montfort
P.-M. DESSUS de CÉROU, Une vraie dévotion à la Sainte Vierge selon saint Louis-Marie Grignion de Montfort (lire la suite) -
Un dictionnaire de la langue française
L’ouvrage de Pascal-Raphaël AMBROGI, Particularités et finesses de la langue française, publié l’an dernier par Chiflet & Cie, est un petit bijou, que je ne saurais trop recommander. L’auteur suit une double démarche : celle du collectionneur qui déniche les « finesses » de la langue et en fait apparaître toute la complexité et la saveur. Celle du pédagogue aussi, soucieux avant tout du bon usage, qui signale, pour les résoudre, les difficultés orthographiques, sémantiques et syntaxiques, et tord le cou également à certains anglicismes et néologismes qui envahissent notre langage.
Abou Diouf, ancien Président de la République du Sénégal et secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie, préface l’ouvrage, dont il vante la contribution à la francophonie, face »au danger d’un monolinguisme réducteur ».
Comme toujours dans ce genre d’ouvrage, on se découvre fautif dans bien des domaines… Pascal-Raphaël Ambrogi nous aide à nous exprimer correctement, avec élégance et précision, des qualités qu’il serait regrettable de perdre, tant il est vrai que le français est connu et apprécié pour sa rigueur et sa beauté.