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Filiation divine - Page 3

  • 20 mars : l'amitie avec Dieu

    medium_Paradisterrestre3.jpgEncore maintenant, Dieu se promène au paradis quand je lis les divines Écritures ! C'est un paradis que le livre de la Genèse, où fleurissent les vertus des patriarches ; c'est un paradis que le Deutéronome, où germent les préceptes de la loi ; c'est un paradis que l'Évangile, où l'arbre de vie donne de bons fruits et répand dans tous les peuples les paroles de l'éternelle espérance.

    Saint Ambroise, Epistola ad Sabinum 3.





  • 8 mars : prier en chrétien

     

    medium_JPIIaLourdes2004.jpgNous devons prier en chrétiens. En effet, pour le chrétien la prière acquiert une caractéristique particulière qui change totalement sa nature et sa valeur intimes. Le chrétien est disciple de Jésus ; c'est lui qui croit véritablement que Jésus est le Verbe incarné ; le Fils de Dieu venu parmi nous sur terre. En tant qu'homme, la vie de Jésus a été une prière continuelle, un continuel acte d'adoration et d'amour du Père, et puisque l'expression la plus forte de la prière est le sacrifice, le sommet de la prière de Jésus est le sacrifice de la Croix, anticipé par l'Eucharistie lors de la dernière Cène et transmis à tous les siècles par la Sainte Messe. C'est pourquoi le chrétien sait que sa prière est Jésus ; chacune de ses prières vient de Jésus ; c'est lui qui prie en nous, avec nous et pour nous. Tous ceux qui croient en Dieu prient ; mais le chrétien prie en Jésus-Christ ; le Christ est notre prière.

    Jean-Paul II, , 14 mars 1979.

     

  • 27 février

    medium_FrancoisdAssiseoiseaux.jpgAu diable et à ses membres convient la tristesse, mais à nous il convient de nous réjouir sans cesse dans le Seigneur.

    Saint FRANÇOIS d'ASSISE.


  • 19 février

    medium_Joiedevivre.L.E.Drivier.jpgJe me figure mon âme comme un terrain libre et je prie la Sainte Vierge d'ôter les décombres qui pourraient l'empêcher d'être libre, ensuite je la supplie de dresser elle-même une vaste tente digne du ciel, de l'orner de ses propres parures et puis j'incite tous les saints et les anges à venir faire un magnifique concert. Il me semble lorsque Jésus descend dans mon cœur, qu'Il est content de se trouver si bien reçu et moi je suis contente aussi.

    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la sainte Face, <em>Manuscrits autobiographiques</em>.


  • L’amour de Dieu

    Alors que nous allons fêter Noël dans quarante-huit heures, méditons un instant sur l’amour de Dieu envers nous.
    Voici qu’un jour un légiste se lève et pose une question à Jésus « pour l’embarrasser : Maître, que dois-je faire pour avoir en partage la Vie éternelle ? Il lui dit : « Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Qu’y lis-tu ? » Celui-ci répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit ; et ton prochain comme toi-même. « Tu as répondu juste, dit Jésus ; fais cela et tu vivras » (Luc 10, 25-28).
    Dieu ne nous demande pas un peu ni même beaucoup, mais de l’aimer absolument, entièrement, sans réserve, sans rien garder pour nous. Pouvons-nous nous contenter de la réponse que nous apportons à son amour ? Ne devrions-nous pas tâcher d’aimer Dieu un peu plus, un peu mieux chaque jour ?

    « Des cœurs partagés
    moi, je n’en veux pas ;
    et si je donne le mien,
    je le donne en entier » (saint Josémaria, Chemin, n° 145).

    Notre cœur est enclin à s’attacher aux choses du monde. Mais le Seigneur nous indique clairement que nous devons commencer par l’aimer lui, afin que l’amour des êtres ne nous détourne pas de lui et ne constitue pas un obstacle à notre sainteté. Nous ne pouvons pas adopter comme ligne de conduite le comportement de ceux qui nous entourent. Celui qui veut être heureux, du bonheur qui découle de l’amour de Dieu ne va pas là où tous vont, ne regarde pas ce que tous regardent, n’achète pas ce que tous achètent, ne répète pas ce que tous répètent : il se demande d’abord si ce qu’il compte faire ou dire plaît à Dieu. « Demande-toi maintes fois dans la journée : est-ce que je fais en ce moment même ce que je dois faire ? » (Ibid., n° 772).
    Nous imiterons ainsi le Seigneur qui, pour faire en tout la Volonté de son Père, a montré son Amour envers nous en épousant notre condition humaine,afin que nous puissions effectivement, en suivant le même chemin d’abandon et d’adhésion à la Volonté du Père, parvenir à être saints dans le monde, sur le chemin de la vie ordinaire.

  • La filiation divine

    En cette période de préparation à lanaissance de Jésus-Christ, Fils de Dieu, il peut être utile de réfléchir à notre filiation adoptive envers Dieu.
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    « Avant la création du monde, avant notre venue à l'existence, le Père céleste nous a choisis personnellement, pour nous appeler à entrer en relation filiale avec lui, par Jésus, Verbe incarné, sous la conduite de l'Esprit Saint. En mourant pour nous, Jésus nous a introduits dans le mystère de l'amour du Père, amour qui l'enveloppe totalement et qu'il nous offre à tous. De cette façon, (lire la suite)

  • Agir en enfant de Dieu

    Par son exemple et ses paroles, Jésus nous a appris à nous adresser filialement à Dieu, notre père, en toutes circonstances. Le dialogue avec notre Père ne doit pas se limiter à quelques moments de notre vie ; il ne dépend pas non plus de sentiments passagers ni de la seule imagination. C’est l’attitude logique d’un enfant conscient que son Père est unique et le plus formidable de tous, qu’il peut tout.
    Même si Jésus se retire à l’écart pour s’adresser à son Père, (lire la suite)

  • Dieu est Père

    Dieu est notre père, un Père qui nous aime plus que tous les pères et toutes les mères de la terre réunis, faisait remarquer saint Josémaria, fondateur de l’Opus Dei. La claire conscience d’être enfant de Dieu donne un sens vigoureusement optimiste et une grande paix à notre existence. En toutes circonstances, qu’elles nous semblent favorables ou adverses, faciles ou difficiles, plaisantes ou désagréables, pensons (lire la suite)

  • Amis de Dieu

    LA PRÉSENCE DU CHRIST DANS LE MESSAGE DE SAINT JOSÉMARIA ESCRIVA, FONDATEUR DE L’OPUS DEI (suite et fin)

    Être des contemplatifs au milieu du monde. Tout ce que nous avons dit précédemment de la vie du chrétien se ramène constamment à la divinisation, à ne faire qu’un avec Jésus-Christ, à être un alter Christus, ipse Christus (lire la suite)

  • Filiation divine

    En cette période de préparation à lanaissance de Jésus-Christ, Fils de Dieu, il peut être utile de réfléchir à notre filiation adoptive envers Dieu.
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    « Avant la création du monde, avant notre venue à l'existence, le Père céleste nous a choisis personnellement, pour nous appeler à entrer en relation filiale avec lui, par Jésus, Verbe incarné, sous la conduite de l'Esprit Saint. En mourant pour nous, Jésus nous a introduits dans le mystère de l'amour du Père, amour qui l'enveloppe totalement et qu'il nous offre à tous. De cette façon, unis à Jésus, qui est le Chef, nous formons un seul corps, l'Église.
    Le poids de deux millénaires d'histoire rend difficile la perception de la nouveauté du mystère fascinant de l'adoption divine, mystère qui est au centre de l'enseignement de saint Paul. Le Père, rappelle l'Apôtre, « nous a dévoilé le mystère de sa volonté,… le dessein de réunir tout sous un seul chef le Christ » (Éphésiens 1, 9-10). Et il ajoute, non sans enthousiasme : « Quand les hommes aiment Dieu, lui-même fait tout contribuer à leur bien, puisqu'ils sont appelés selon le dessein de son amour. Ceux qu'il connaissait par avance, il les a aussi destinés à être l'image de son Fils, pour faire de ce Fils l'aîné d'une multitude de frères » (Romains 8, 28-29). La perspective est vraiment fascinante : nous sommes appelés à vivre en frères et sœurs de Jésus, à nous sentir fils et filles du même Père. C'est un don qui bouleverse toute idée et tout projet exclusivement humains. La confession de la vraie foi ouvre grand les esprits et les cœurs à l'inépuisable mystère de Dieu, qui pénètre l'existence humaine » (Benoît XVI, Message pour la Journée mondiale de prière pour les vocations, 7 mai 2006).
    C'est une des vérités fondamentales pour la vie chrétienne, en ce sens qu’elle devrait lui servir de fondement permanent. « Tous les hommes sont enfants de Dieu. Mais, face à son père, un enfant peut réagir de mille manières. À nous de nous efforcer, comme des enfants, de nous rendre compte que le Seigneur, en nous voulant pour enfants, nous fait vivre dans sa maison, au milieu de ce monde ; nous intègre à sa famille, fait nôtre ce qui est sien, et sien ce qui est nôtre ; nous vaut cette familiarité et cette confiance qui nous font lui demander, comme de petits enfants, l'impossible » (saint Josémaria,