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Vierge Marie - Page 4

  • L’Immaculée Conception et les saints

    C’est une grande chose pour les autres saints de ne pouvoir être vaicnus par les vices ; la  merveille qui se voit dans la glorieuse Vierge, c’est de ne pouvoir pas même en être attaquée. Aux autres saints, il est prescrit de ne pas laisser le péché dominer dans leur corps mortel ; à la Vierge seule, il est singulièrement donné que le péché n’habite pas dans sa chair. Que le  péché ne règne plus dans votre corps mortel, écrit l’Apôtre aux Romains (6, 12). Vous le voyez, il ordonne que le péché ne règne pas ; ordonne-t-il aussi qu’il n’habite pas ? Ecoutez ce qu’il dit plus loin : Si je fais le mal que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui l’opère, mais le péché qui habite en moi (Rm 7, 20). L’extermination tiotale du péché qui s’est faite en la Bienheureuse Vierge Marie, les autres saints l’attendent, mais pour l’avenir ; non pas dans ce corps mortel, mais dans le même corps revêtu d’immortalité.

     

    Richard de Saint-Victor, De Emman. 2, 31.

  • Prière à l’Immaculée Conception

    Vierge très Sainte, qui avez plu au Seigneur et êtes devenue sa Mère, Vierge Immaculée dans voter corps, dans votre âùe, dasn votre foi et dans votre amour, (…) regardez avec bienveillance les malheureux qui imporent votre puissante protection. Le serpent infernal, contre lequel fut jetée la première malédiction, continue, hélas ! à combattre et à tenter les fils d’Eve. Ah ! vous, ô notre Mère bénie, notre Reine et notre Avocate, vous qui avez écrasé la têtede l’ennemi dès le premier instant de votre conception, accueillez nos prières, et – nous vous en conjurons,unis à vous en un seul cœur – présentez-les devant le trône de Doiue, afin que nous ne nous laissions jamais prendre aux embûches qui nous sont tendues, mais que nous arrivions tous au port du salut, et qu’au milieu de tant de périls, l’Eglise et la société chrétienne chantent encore une fois l’hymne de la délivrance, de la victoire et de la paix. Ainsi soit-il !

     

    Saint Pie X, Prière Vergine Sanctissima, composée le 8 septembre 1903, pour le 50ème anniversaire de la définition de l’Immacuylée Conception de Marie.

  • Garder la Parole de Dieu

    C'était dire (en Luc 11, 27-28) : Ma Mère elle-même, que vous avez appelée bienheureuse, est heureuse parce qu'elle garde la parole de Dieu : non point parce qu'en elle la Parole « s'est faite chair et a habité parmi nous » (Jean 1, 14), mais parce qu'elle garde cette même Parole de Dieu par qui elle a été faite et qui, en elle, s'est faite chair.

    Saint Augustin, Homélies sur l'Évangile de saint Jean I-XVI, Paris, Institut des Études  augustiniennes, 1993, Œuvres de saint Augustin, vol. 71, Tract. 10, 3, p. 455.

  • Marie, le chemin qui mène au Christ

    Marie est bien toujours le chemin qui mène au Christ. La rencontre avec elle aboutit toujours à le rencontrer, lui. Que peut signifier le recours continuel à Notre Dame, sinon qu’on cherche entre ses bras, en elle, par elle et avec elle, le Christ notre Sauveur, auquel les hommes, parmi les égarements et les dangers de ce bas monde, ont l’obligation et se sentent toujours le besoin de recourir comme à celui qui est le port du salut, la source surnaturelle de vie ?

     

    Paul VI, encyclique Mense maio, 29 avril 1965, n° 2.

     

  • Combat spirituel avec Marie

    Avec Marie, il (le combat spirituel) est aisé : je mets ma confiance en elle, quoique le monde et l’enfer grondent. (…) C’est par Marie que je cherche et que je trouverai Jésus, que j’écraserai la tête du serpent et vaincrai tous mes ennemis et moi-même pour la plus grande gloire de Dieu.

    Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Règles des prêtres missionnaires de la Compagnie de Marie, nos 60-61.

  • L'humilité de Marie

    « Il a regardé l’humilité de sa servante » (Luc 1, 48). « Ô véritable humilité qui a enfanté Dieu aux hommes, donné la vie aux mortels, renouvelé les cieux, purifié le monde, ouvert le paradis et délivré les âmes des hommes ! L’humilité de Marie est devenue l’échelle céleste par laquelle Dieu est descendu sur la terre. Que veut dire : « Il a regardé », si ce n’est « Il a approuvé » ? Beaucoup paraissent humbles aux yeux des hommes, mais leur humilité n’est point regardée par le Seigneur ; car s’ils étaient véritablement humbles, ils voudraient que Dieu fût loué par les hommes et point eux-mêmes ; leur esprit ne tressaillerait point dans ce monde, mais en Dieu.

    Saint Augustin, In serm. De Assumptione.

  • Quand nous faisons souffrir Marie

    Marie au curé d’Ars : « Quand tu me fais quelque ennui, cela m’est plus sensible que les autres. »

    Catherine Lassagne, Le curé d’Ars au quotidien par un témoin privilégié, Paris, Parole et Silence, 2003, p. 46.

  • Le Coeur de Jésus

    Son Cœur (de Jésus) a tant d’amour pour le mien qu’il ne peut refuser mes demandes.

    La Sainte Vierge à Estelle Faguette, récit de la 7e apparition, M.-R.Vernet, La Vierge à Pellevoisin. Dieu au cœur d’une mère. Lecture théologique et spirituelle des documents, Paris, Téqui, 1995, p. 199.

  • Être enfant de Marie

    « Jésus, voyant sa Mère et, auprès d’elle, le disciple qu’il aimait, dit à sa Mère : Femme, voici ton fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta Mère. Et, à partir de ce moment, le disciple la prit chez lui » (Jean 19, 26-27).

    Mon souhait fervent pour chacun, chers frères et sœurs, est que la parole de l’Evangile de Jean se réalise pleinement en vous.

    Que chacun de vous découvre en Marie sa propre Mère.

    Que chacun de vous cherche à être un fils, une fille de Marie, qui, au pied de la Croix, est devenu tout particulièrement pour nous la « Mère de la Grâce divine ».

    Que chacun de vous « la prenne dans sa maison » et, plus encore, dans son cœur, chaque jour et tout au long de notre vie, surtout dans les moments d’épreuve et de souffrance.

    Jean-Paul II, Homélie à Maseru (Lesotho), 15 septembre 1988, n° 9.

  • Le diable et Marie

    Oh comme le démon redoute la dévotion envers la Sainte Vierge !...Il se plaignait un jour hautement au bienheureux François que deux sortes de personnes le faisaient bien souffrir. D’abord, celles qui contribuent à répandre la dévotion à la sainte Vierge, puis celles qui portent le saint Scapulaire.

    Josse Alzin, Jean-Marie-Baptiste Vianney, saint curé d’Ars, Sermons, Ed. du Soleil Levant, coll. Les écrits des saints, Namur, 1956, p. 144.