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Vierge Marie

  • Les blessures du Christ

    J'ai la joie de vous informer de la parution immédiate, chez Artège, de mon dernier ouvrage

    Les blessures du Christ lumières pour notre vie chrétienne.

    Voici le texte de la quatrième de couverture :

    « J’accorderai tout ce que l’on me demandera par l’invocation aux saintes plaies. Il faut en répandre la dévotion », confiait le Christ à une simple religieuse visitandine, sœur Marie-Marthe Chambon, à la fin du xixe siècle. Forts de ces promesses, pénétrons donc dans ce mystère d’amour et contemplons ces « splendides joyaux », sources de notre salut.

    Aimer et vénérer les blessures du Christ en sa Passion, c’est apprendre à aimer d’un amour sans limite, allant « jusqu’au bout » (Jn 13,1), jusqu’au terme de chaque action entreprise, de nos journées, de notre vie tout entière. C’est aussi apprendre à endurer nos souffrances en union avec Jésus et Marie, pour le salut de tous les hommes.

    Mgr Dominique Le Tourneau propose ici une riche méditation qui éclairera tous les fidèles désireux de s’approcher un peu plus du Christ souffrant. Ils y puiseront un approfondissement de leur vie intérieure, la maîtrise de leurs sens et la force de supporter les épreuves en les offrant en union avec Jésus et Marie, pour le salut des hommes.

  • A l'école de saint Joseph. Les secrets du père idéal

    Voir le texte de cette conférence sur mon autre blog.

  • Tout savoir sur saint Joseph

    FIC161825_couv.jpgVoici un livre qui arrive à point nommé, puisque nous fêtons aujourd'hui saint Joseph. Les événements actuels entravent sans doute sa distribution. Mais notez son existence. L'histoire de Joseph est retracée ici à partir des Evangiles et des écrits non officiels souvent repris par les Pères de l'Eglise.

    Maître de vie intérieur, proche de tout travailleur et gardien des familles, Joseph accompagne chacun à sa façon. Vous découvrirez son culte à travers le monde, comment le prier et une multitude d'anecdotes étonnantes.

    Un ouvrage pour tous, du débutant à l'érudit, qui met au grand jouir la vie cachée et la splendeur du père de Jésus.

  • Guide des sanctuaires mariaux de France

    Le Guide des sanctuaire mariaux de France est paru début mai chez Artège.

    Il propose près de 2900 lieux actifs de dévotion mariale. Par actif, nous entendons un lieu où au moins une procession ou un pèlerinage est organisé chaque année. Nous laissons donc de côté ceux qui font l'objet d'une dévotion purement individuelle. En raison de leur importance passée, nous avons retenu cependant une centaine de sanctuaires tombés en désuétude.

    Saint Jean-Paul II déclarait un jour que "les sanctuaires dédiés à la Vierge, disséminés partit dans le monde, sont comme des bornes milliaires dressées pour rythme le temps de notre itinéraire terrestre: ils nous permettent de prendre un moment de repos au cours du voyage et de retrouver la joie et la sécurité pour la route, en même temps que la force d'aller de l'avant; ils sont comme les oasis qui surgissent dans le désert pour offrir de l'eau et de l'ombre".

    Et ce, auprès de la Vierge Marie, qui étend son grand manteau bleu sur toute la France. Cette abondance de lieux qui lui sont consacrés, sans compter les innombrables cathédrales - comment ne pas penser ici à la cathédrale Notre-Dame-de-Paris récemment dévastée par un terrible incendie ! -, basiliques, églises, chapelles et oratoires au titre marial, montre bien la vitalité de la piété mariale dans notre pays.

    Sur les 2900 lieux retenus, 150 correspondent à une apparition de la Sainte Vierge. Peu d'entre elles ont été officiellement reconnues, mais le fait qu'elles aient donné lieu à une dévotion locale qui perdure, en accord avec l'autorité ecclésiastique locale, est une garantie de leur authenticité.

    Une notice quelque peu détaillée présente le ou les principaux sanctuaires de chaque département, et fournit des renseignements techniques: adresse, numéro de téléphone, courriel, site sur l'internet, éventuellement communauté religieuse en charge du sanctuaire, hébergements sur place ou à proximité, accès par la route, le rail.

    Les autres lieux sont présentés par ordre alphabétique de commune dans chaque département.

    Dans tous les cas, la date de chaque activité, pèlerinage, procession ou autre, est donnée.

    Comme le pape Pie XI l'écrivait dans une lettre adressée à l'Eglise de France, "il est certain que, selon un adage ancien, le royaume de France a été appelé le royaume de Marie, et cela à juste titre".

    Puisse ce Guide des sanctuaire mariaux de France vous être utile et contribuer à mieux honorer Notre Dame. N'hésitez pas à le faire connaître autour de vous : l'on vous en sera reconnaissant.

     

     

     

     

  • La vraie liberté

    La vraie liberté se trouve dans notre accueil amoureux de la volonté du Père. De Marie, pleine de grâce, nous apprenons que la liberté chrétienne est quelque chose de plus que la simple libération du péché. C’est la liberté qui ouvre à une nouvelle façon spirituelle de considérer les réalités terrestres, la liberté d’aimer Dieu ainsi que nos frères et sœurs d’un cœur pur, et de vivre dans la joyeuse espérance de la venue du Règne du Christ.

    Pape François, messe en la solennité de l’Assomption, Séoul, 15 août 2014.

  • Dictionnaire encyclopédique de Marie

    Dictionnaire encyclopédique de Marie

    Vous pouvez écouter une présentation sur Radio Espérance.

    Vous trouverez également deux pages dans le numéro de Famille chrétienne, du 2 au 8 mai 2015.

    Rappel du Dictionnaire paru le 2 avril chez Desclée de BrouwerCapture d’écran (3).png

  • Silence de Dieu

    « Dieu est silence. » Un silence de plénitude, de création, d’initiative. Dieu est « Silence », parce qu’il est Esprit. La Sainte Trinité est « Silence ». la génération ineffable du Verbe, « au sein du Père » est « silence ». Dès la première génération qui a suivi celle des apôtres, le martyr et Père de l’Église Ignace d’Antioche écrit : « Il n’y a qu’un seul Dieu, manifesté par Jésus-Christ son Fils qui est son Verbe sorti du silence » (Lettre aux Magnésiens 8, 2). Le Verbe est sorti du silence d’abord en créant toutes choses (cf. Ps 32, 9 ; 148, 5), et « les choses qu’il a faites dans le silence sont dignes de son Père » (Lettre aux Éphésiens). Puis, par son Incarnation, il est devenu « la bouche sans mensonge par laquelle le Père a parlé en vérité » (Lettre aux Romains 8, 2). Enfin « celui qui possède en vérité la Parole de Jésus peut entendre même son silence, afin d’être parfait, afin d’agir par sa Parole, et de se faire connaître par son silence » (Lettre aux Éphésiens 15, 2).

    Vernet, La Vierge à Pellevoisin. Dieu au cœur d’une mère. Lecture théologique et spirituelle des documents, Paris, Téqui, 1995, p. 358-359.

  • Le Je vous salue

    C'est l'Église qui a introduit les deux prénoms, Marie et Jésus, pour rendre plus explicite la prière de l'Ave Maria. On doit probablement au pape Urbain IV, vers 1263, l'ajout de l'incise « Jésus » avant « le fruit de vos entrailles est béni ».

     

    Guillaume de Menthière, Je vous salue Marie. L'art de la prière, préface de Mgr Henti Brincard, Paris, Mame-Edifa, 2003, p. 76.

  • Prière à Marie

    Ne dites pas, gracieuse Vierge, que vous ne pouvez, car votre Fils bien-aimé vous a donné tout pouvoir, tant au ciel comme en la terre ; ne dites pas que vous ne devez, car vous êtes la commune mère de tous les pauvres humains et particulièrement la mienne.

    Ne dites pas que vous ne devez ; car vous êtes la commune Mère de tous les pauvres humains et particulièrement la mienne.

    Si vous ne pouviez, je vous excuserais disant : il est vrai qu'elle est ma mère et qu'elle me chérit comme son fils, mais la pauvrette manque d'avoir et de pouvoir.

    Si vous n'étiez ma Mère, avec raison je patienterais disant : elle est bien assez riche pour m'assister ; mais hélas, n'étant pas ma mère, elle ne m'aime pas.

    Puis donc, très douce Vierge, que vous êtes ma Mère et que vous êtes puissante, comment vous excuserais-je si vous ne me soulagez et ne me prêtez votre secours et assistance ?

    Vous voyez, ma Mère, que vous êtes contrainte d'acquiescer à toutes mes demandes.

    Pour l'honneur et la gloire de votre Fils, acceptez-moi comme votre enfant, sans avoir égard à mes misères et péchés. Délivrez mon âme et mon corps de tout mal et me donnez toutes vos vertus, surtout l'humilité.

    Enfin, faites-moi présent de tous les dons, biens et grâces, qui plaisent à la Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

    Saint François de Sales, Prière à Notre-Dame de tout pouvoir.

  • Noël et recherche de Dieu

    Le jour de Noël, nous lisons que les bergers de Bethléem, qui furent les premiers appelés à venir voir le nouveau-né dans la crèche, « y allèrent en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la mangeoire » (Luc 2, 6). // Arrêtons-nous sur le mot « trouvèrent » qui exprime la recherche. Les bergers de Bethléem, qui se reposaient avec leurs troupeaux, ne savaient pas, en effet, que le temps était arrivé où se réaliserait ce qui depuis des siècles était annoncé par les prophètes de leur peuple, et que cela aurait lieu cette nuit-même, tout près d’eux. Quand ils sont sortis du sommeil où ils étaient plongés, ils ne savaient ni ce qui était arrivé ni où cela était arrivé. S’ils sont parvenus à la grotte, c’est après une recherche. Mais en même temps, ils avaient été conduits. Comme nous le lisons, ils avaient été guidés par une voix et par une lumière. Et si nous remontons plus haut dans le passé, nous voyons qu’ils avaient été guidés par la tradition de leur peuple, par son attente. Nous savons qu’Israël avait obtenu la promesse du Messie.

    […] Ils ont cherché où il pouvait être, et finalement ils l’ont trouvé. Et en même temps, chez saint Luc, le mot « trouver » exprime la dimension intérieure de ce qui s’est passé chez ces simples bergers de Bethléem la nuit de noël. […] // Le mot « trouver » exprime une recherche. // L’homme est un être qui cherche. Toute son histoire le confirme. La vie de chacun de nous en témoigne aussi. […] Parmi tous les domaines où l’homme se révèle comme un être qui cherche, il en est un, plus profond, qui pénètre plus intimement dans l’humanité même de l’être humain et qui correspond le mieux au sens de toute la vie humaine.

    L’homme est l’être qui cherche Dieu.

    Saint Jean-Paul II, Audience générale, 27 décembre 1978.