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Opus Dei - Page 3

  • 23 février

    medium_DepositionCroix.jpgJe ne m’explique pas l’idée que tu te fais du chrétien. Crois-tu qu’il est juste que le Seigneur soit mort crucifié et que toi tu te contentes de te laisser vivre ? Te « laisser vivre », est-ce le chemin dur et étroit dont parlait Jésus ?

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 13ème station, point n° 2

  • 21 février

    Les vrais obstacles qui te séparent du Christ — l’orgueil, la sensualité... medium_67.ND7douleurs.Marienthal.jpg—, se surmontent par la prière et par la pénitence. Et prier, et se mortifier, c’est aussi s’occuper des autres et s’oublier soi-même. Si tu vis de la sorte, tu verras que la plupart de tes ennuis disparaîtront.

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 10ème station, point n° 4.

  • 16 février

    medium_Josemaria.Brafa1972.jpg16 février 1932 : Je suis assez enrhumé depuis quelques jours, et cela a permis à mon manque de générosité envers mon Dieu de se manifester par un relâchement dans ma prière et dans les mille petites choses qu'un enfant, et qui plus est un enfant-âne, peut chaque jour offrir à son Maître. Je m'en étais déjà aperçu et je voyais bien que je remettais à plus tard certaines résolutions d'accorder plus d'intérêt et de temps à mes pratiques de piété, mais je me rassurais en me disant : plus tard, quand tu iras mieux, lorsque la situation financière des tiens s'arrangera... alors ! - Et aujourd'hui, après avoir distribué la sainte communion aux religieuses, avant la sainte Messe, j'ai dit à Jésus ce que je lui dis tant et tan de fois, jour et nuit : (...) "Je t'aime plus que celles-ci." Immédiatement, et sans bruit de paroles, j'ai entendu : "Les œuvres sont amour, et non les beaux discours." Sur-le-champ, j'ai nettement perçu mon grand manque de générosité, et j'ai repensé à de nombreux détails, insoupçonnés, auxquels je n'avais pas donné d'importance, qui m'ont fait vivement comprendre mon manque de générosité. Jésus ! Aide-moi et que ton petit âne soit vraiment généreux. Des œuvres ! des œuvres !

    Saint Josémaria, <em>Cahiers</em>, n° 606, 16 février 1932, cité par A. Vazquez de Prada, <em>Le fondateur de l'Opus Dei. Vie de Josémaria Escriva</em>, vol. I, Paris-Montréal, 2001, p. 414.



  • 14 février, date de fondation dans l'Opus Dei

    La sainte Mère Thérèse reconnaît, au chapitre 2 desmedium_Josemaria6.jpg <em>Fondations</em>, qu'une manifestation de la Toute-Puissance divine est de donner de l'audace à des personnes faibles pour qu'elles réussissent de grandes choses à son service. Je souscris à l'audace et à la faiblesse... 2 octobre 1928 - 14 février 1930. (dates de fondation de l'Opus Dei)

    Cité par F. Gondrand, <em>Au pas de Dieu. Josémaria Escriva de Balaguer fondateur de l'Opus Dei</em>, Paris, 1982, p. 69.

  • 7 février

    medium_JCcharpentier.gifAvant de commencer à travailler, place un crucifix sur la table ou près de tes instruments de travail. De temps en temps, jette-lui un coup d’œil... Quand tu sentiras venir la fatigue, ton regard se tournera vers Jésus, et tu retrouveras des forces nouvelles pour persévérer dans ton effort.

    Car ce crucifix est plus que le portrait d’un être cher — les parents, les enfants, la femme, la fiancée. Il est tout : ton Père, ton Frère, ton Ami, ton Dieu, et l’Amour de tes amours.

     
    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 11ème station.
     

  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

    medium_Confession.jpg
    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto
    quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.


  • Un article sur l'Opus Dei

    Le dernier numéro de la revue de droit canonique Studia Canonica 39 (2005), p. 129-145, publie sous ma signature un article sur « Le peuple propre de la prélature de l’Opus Dei ».
    Studia Canonica est édité par la Faculté de droit canonique de l’Université Saint-Paul, à Ottawa (Canada).

    Voici le résumé de l’article en question :

    La division de l’article est la suivante (la rédaction de la revue a modifié la presentation matérielle de la division interne de l'article) :

    Introduction

    I. Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei

    A) La mission canonique du clergé de la prélature de l’Opus Dei

    B) Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei

    II. Les fidèles laïcs de la prélature de l’Opus Dei

    A) L’appartenance des laïcs à l’Opus Dei

    B) La juridiction envers les fidèles laïcs de l’Opus Dei

    Conclusion

  • 2 octobre : anniversaire de la fondation de l'Opus Dei

    medium_OpusDei.jpg
    Le 2 octobre 1928, jour de la fête des anges gardiens, après avoir passé onze ans à « pressentir » que Dieu lui demandait quelque chose, le jeune abbé Josémaria Escriva, ordonné en 1925, était en train de faire une retraite spirituelle et de relire des notes prises au cours des années antérieures : « J’ai reçu l’illumination sur l’Œuvre tout entière, tandis que je lisais ces papiers, devait-il raconter. Tout ému, je me suis agenouillé — j’étais seul dans ma chambre, entre deux causeries — j’ai remercié le Seigneur ; et je me souviens avec émotion d’avoir entendu sonner les cloches de la paroisse Notre-Dame-des-Anges », toute proche du lieu où il faisait cette retraite.
    Il dira encore, conscient de n’être qu’un instrument inadéquat entre les mains de Dieu : « Une fois de plus s’est accompli ce que dit l’Écriture : ce qui est stupide, ce qui ne vaut rien, ce qui, pourrait-on dire, n’existe presque pas,… tout cela le Seigneur le prend et le met à son service. Ainsi a-t-il pris cette créature [c’est-à-dire lui-même] pour être son instrument. »
    medium_OpusDei3.gif
    La fondation se fait donc à l’encontre de la volonté de celui qui est devenu saint Josémaria. « L’Œuvre de Dieu n’est pas sortie d’un cerveau humain […]. Voici de nombreuses années que le Seigneur l’inspirait à un instrument inepte et sourd, qui la vit pour la première fois le jour des saints anges gardiens, le deux octobre mille neuf cent vingt-huit. »
    Qu’apporte l’Opus Dei, quel est son message ? Saint Josémaria l’expliquait en ces termes dans une lettre adressée à ses enfants spirituels : « Nous sommes venus dire, avec l’humilité de celui qui se sait pécheur et peu de chose — homo peccator sum (Luc 5, 8), disons-nous avec Pierre —, mais avec la foi de celui qui se laisse guider par la main de Dieu, que la sainteté n’est pas affaire de privilégiés : que le Seigneur nous appelle tous, que de tous il attend de l’Amour, de tous, quel que soit leur état, leur profession ou leur métier. Car cette vie courante, ordinaire, sans éclat, peut être un moyen de sainteté : il n’est pas nécessaire d’abandonner son état dans le monde, pour chercher Dieu, si le Seigneur ne donne pas la vocation religieuse à une âme, car tous les chemins peuvent être l’occasion d’une rencontre avec le Christ. »

    Les citations sont tirées du premier volume de l’ouvrage de A. Vazquez de Prada, Le Fondateur de l’Opus Dei, publié par les Éditions Le Laurier (Paris) et Wilson & Lafleur (Québec).