La messe est le centre et la racine de la vie spirituelle du chrétien.
Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 87.
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La messe est le centre et la racine de la vie spirituelle du chrétien.
Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 87.
Je ne m’explique pas l’idée que tu te fais du chrétien. Crois-tu qu’il est juste que le Seigneur soit mort crucifié et que toi tu te contentes de te laisser vivre ? Te « laisser vivre », est-ce le chemin dur et étroit dont parlait Jésus ?
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 13ème station, point n° 2
Les vrais obstacles qui te séparent du Christ — l’orgueil, la sensualité... —, se surmontent par la prière et par la pénitence. Et prier, et se mortifier, c’est aussi s’occuper des autres et s’oublier soi-même. Si tu vis de la sorte, tu verras que la plupart de tes ennuis disparaîtront.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 10ème station, point n° 4.
16 février 1932 : Je suis assez enrhumé depuis quelques jours, et cela a permis à mon manque de générosité envers mon Dieu de se manifester par un relâchement dans ma prière et dans les mille petites choses qu'un enfant, et qui plus est un enfant-âne, peut chaque jour offrir à son Maître. Je m'en étais déjà aperçu et je voyais bien que je remettais à plus tard certaines résolutions d'accorder plus d'intérêt et de temps à mes pratiques de piété, mais je me rassurais en me disant : plus tard, quand tu iras mieux, lorsque la situation financière des tiens s'arrangera... alors ! - Et aujourd'hui, après avoir distribué la sainte communion aux religieuses, avant la sainte Messe, j'ai dit à Jésus ce que je lui dis tant et tan de fois, jour et nuit : (...) "Je t'aime plus que celles-ci." Immédiatement, et sans bruit de paroles, j'ai entendu : "Les œuvres sont amour, et non les beaux discours." Sur-le-champ, j'ai nettement perçu mon grand manque de générosité, et j'ai repensé à de nombreux détails, insoupçonnés, auxquels je n'avais pas donné d'importance, qui m'ont fait vivement comprendre mon manque de générosité. Jésus ! Aide-moi et que ton petit âne soit vraiment généreux. Des œuvres ! des œuvres !
Saint Josémaria, <em>Cahiers</em>, n° 606, 16 février 1932, cité par A. Vazquez de Prada, <em>Le fondateur de l'Opus Dei. Vie de Josémaria Escriva</em>, vol. I, Paris-Montréal, 2001, p. 414.
La sainte Mère Thérèse reconnaît, au chapitre 2 des <em>Fondations</em>, qu'une manifestation de la Toute-Puissance divine est de donner de l'audace à des personnes faibles pour qu'elles réussissent de grandes choses à son service. Je souscris à l'audace et à la faiblesse... 2 octobre 1928 - 14 février 1930. (dates de fondation de l'Opus Dei)
Cité par F. Gondrand, <em>Au pas de Dieu. Josémaria Escriva de Balaguer fondateur de l'Opus Dei</em>, Paris, 1982, p. 69.
Avant de commencer à travailler, place un crucifix sur la table ou près de tes instruments de travail. De temps en temps, jette-lui un coup d’œil... Quand tu sentiras venir la fatigue, ton regard se tournera vers Jésus, et tu retrouveras des forces nouvelles pour persévérer dans ton effort.
Car ce crucifix est plus que le portrait d’un être cher — les parents, les enfants, la femme, la fiancée. Il est tout : ton Père, ton Frère, ton Ami, ton Dieu, et l’Amour de tes amours.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 11ème station.
J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.
J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.
Le dernier numéro de la revue de droit canonique Studia Canonica 39 (2005), p. 129-145, publie sous ma signature un article sur « Le peuple propre de la prélature de l’Opus Dei ».
Studia Canonica est édité par la Faculté de droit canonique de l’Université Saint-Paul, à Ottawa (Canada).
Voici le résumé de l’article en question :
La division de l’article est la suivante (la rédaction de la revue a modifié la presentation matérielle de la division interne de l'article) :
Introduction
I. Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei
A) La mission canonique du clergé de la prélature de l’Opus Dei
B) Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei
II. Les fidèles laïcs de la prélature de l’Opus Dei
A) L’appartenance des laïcs à l’Opus Dei
B) La juridiction envers les fidèles laïcs de l’Opus Dei
Conclusion