J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto
quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.