La science sacrée qui, au service de la foi, pénètre dans les profonds mystères de la divinité et du dessein providentiel de salut, et la science profane, qui lutte infatigablement pour avoir une connaissance plus vaste des choses créées, ne sont pas des ennemies, mais des sœurs. La plus haute noblesse de l’une, qu’elle tient de sa fin propre, qui est d’ordre surnaturel, ne diminue pas la grandeur, l’importance, la nécessité, les mérites de l’autre, laquelle étudie et découvre l’œuvre du Créateur dans l’univers.
Pie XII, Allocution au Congrès des sciences mathématiques, 12 novembre 1941.