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  • Le démon

    Le démon

    Diables.jpgPrends garde ! Il est ton ennemi et ton rival dans la nuit qui guette et qui t'attend ! C'est à lui que tu auras à faire ! C'est lui, cet amant jamoux de l'Âme humaine, c'est lui, cet ennemi, cet affamé de l'Âme humaine, il mord dedans ! C'est lui, ce gardien qui la garde ! Comme un chien est affamé de viande, le démon, c'est ainsi qu'il est affamé de l'Âme humaine ! Et comme l'odeur de la viande, c'est ainsi que sur tout homme et sur toute femme nés de la femme il flaire en bavant de désir cet odeur du péché originel.

     

    Azarias (archange saint Raphaël) à Tobie, P. Claudel, L'histoire de Tobie et de Sara, Théâtre, tome II, Paris, nrf, Bibilothèque de La Pléiade, 1948, p. 1164.

     

  • La chasteté

    Il est de première importance de retrouver cette vertu à notre époque. La chasteté nous aide à harmoniser toutes les dimensions de notre sexualité et à vivre ainsi dans la joie, conformément à la volonté de Dieu. Parce que la chasteté exige la pratique de l'autodiscipline, elle est aussi un don de l'Esprit Saint qui habite nos corps comme un temple.


    Jean-Paul II, Discours aux jeunes, à Maseru (Lesotho), 15 septembre 1988.

     

  • Ne pas se séparer de l'Église

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    Ne te sépare point de l'Église : aucune puissance n'a sa force ! Ton espérance, c'est l'Église. Ton salut, c'est l'Église. Ton refuge, c'est l'Église. Elle est plus haute que le ciel et plus large que la terre. Elle ne vieillit jamais : sa vigueur est éternelle.

     

    Saint Jean Chrysostome.

     

  • La parenté spirituelle avant la parenté charnelle

    Que nous enseigne-t-il par là, sinon à placer notre parenté spirituelle avant notre parenté charnelle et que les hommes sont heureux, non pas du fait qu'ils sont liés par la chair à des juestes et à des saints, mais du fait que, par leur soumission et leur imitation, ils son attachés à leur doctrine et à leurs mœurs ? Marie a donc été plus heureuse de recevoir la foi du Christ que de concevoir la chair du Christ. En effet, à qui disait : « Heureux le sein qui t'a porté », le Christ lui-même a répondu : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent » (Luc 11, 27-28).

    Saint Augustin, Homélies sur l'Évangile de saint Jean I-XVI, Paris, Institut des Études augustiniennes, 1993, Œuvres de saint Augustin, vol. 71, notes par M.-F. Berrouard, p. 906.

     

     

  • Visite au saint-sacrement

    31.Hauterive.EgliseStPaul.Maitreautel.jpgVisite au saint-sacrement

     

    Qu'au cours de la journée 1es fidèles ne négligent point de rendre visite au Saint Sacrement, qui doit être conservé en un endroit très digne des églises, avec le plus d'honneur possible, selon les lois liturgiques. Car la visite est une marque de gratitude, un geste d'amour et un devoir de reconnaissance envers le Christ Notre-Seigneur présent en ce lieu.

     

    Paul VI, enc. Mysterium Dei, 3 septembre 1965.

     

  • Les contrefaçons de l'amour

    « Heureux les cœurs purs ! » Dans la société d'aujourd'hui, une place démesurée est accordée au sexe, avec le déferlement des films, des revues et de la publicité pornographiques. Quand il s'agit du corps, on veut connaître la jouissance tout de suite. Le plaisir dans la relation à l'autre, dans la relation sexuelle, a été voulu par Dieu, mais pas n'importe comment. Dieu ne veut pas des contrefaçons de l'amour que l'on présente trop souvent comme normales dans l'existence. Non, Dieu veut que l'homme et la femme forment un couple fidèle, lié par un amour à l'image de l'amour en Dieu, où les trois Personnes qui composent la famille trinitaire sont sans cesse tournées l'une vers l'autre dans un don réciproque et dans une parfaite unité. Le sacrement de mariage donne aux conjoints la grâce nécessaire pour vivre un semblable don réciproque dans une alliance que nul tribunal humain de peut dissoudre.


    Jean-Paul II, Message aux jeunes de la Réunion, 2 mai 1989.

     

  • La foi en l'Eucharistie

    La foi en l'Eucharistie

    CongresEucharistique.Quebec.jpegNotre Prédécesseur Grégoire VII lui imposa (à Béranger de Tours) d'émettre sous la foi du serment la déclaration suivante : « je crois de cœur et je confesse de bouche que le pain et le vin qui sont sur l'autel sont, par le mystère de la prière sainte et par les paroles de notre Rédempteur, changés substantiellement en la chair véritable, propre et vivifiante, et au sang de notre Seigneur Jésus-Christ, et qu'après la consécration ils sont le vrai corps du Christ, qui est né de la Vierge, qui, offert pour le salut du monde, a été suspendu à la Croix, qui siège à la droite du Père, ainsi que le vrai sang du Christ, qui a coulé de son côté. Il n'y est pas seulement figurativement et par la vertu du sacrement, mais dans sa nature propre et dans sa véritable substance ».

    Paul VI, enc. Mysterium Dei, 3 sept 1965.

     

  • Le signe de la Croix

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    Quand nous élevons notre main vers notre front en saluant le Père, à ce moment-là nous rappelons que nous sommes appelés à contempler la face du Père, et quand nous étendons ce signe de croix d'une épaule à l'autre, nous rappelons aussi que sur nos épaules nous devons porter la charge de nos frères, que nous sommes responsables d'eux.

     

    Jean Daniélou, Le Mystère de l'Avent, Paris, Seuil, 1948, p. 151.

     

  • Faire attention à nos paroles

    75.05Dante.JPGFaire attention à nos paroles

    Les philosophes, dit-il, parlent en toute liberté, sans redouter de blesser l'auditeur religieux en des choses très difficiles à saisir. Mais nous sommes tenus de régler nos paroles sur une norme déterminée, pour éviter que la liberté d'expression ne donne lieu à telle opinion impie au plan même du sens des paroles.

    Saint Augustin, De civitate Dei 10, 23.

     

     

     

  • La confusion des damnés

    Dansemacabre.Carisolo.jpgCe sera une des confusions des damnés, de voir qu'ils seront condamnés par leur propre raison, par laquelle ils ont prétendu condamner la religion chrétienne.

     

    Pascal, Pensées 2 (éd. Jacques Chevalier).