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bien commun

  • Le courage du gouvernant

    Un chef de gouvernement est « courageux » quand il fait tout passer après le service de l'intérêt général. Il n'est pas « courageux », quand il fait tout passer (y compris l'intérêt général) après sont propre maintien dans sa place... »


    Charles de Gaulle, Apostille de 1947, Lettres, notes et carnets (8 mai 1945-18 juin 1951), p. 225.

     

  • La mission de la France

    Nous sommes le peuple fait pour établir, pour aider la coopération internationale. C'est ça notre ambition nationale aujourd'hui, et, faute de celle-là, nous n'en aurions aucune mais il nous en faut une et celle-là nous l'avons, elle est pour le bien de l'homme, elle est aussi pour l'avenir de l'humanité, il n'y a que la France qui puisse jouer ce jeu-là et il n'y a que la France qui le joue.


    Charles de Gaulle, entrevue télévisée, 14 décembre 1965, Discours et messages, IV., p. 452.

     

  • L'Église et le bien des hommes

    L'Église ne peut être arrêtée par personne. Le bien temporel et le bien éternel de l'homme l'exigent. L'Église, par respect du Christ et en raison de ce mystère qui constitue la vie de l'Eglise elle-même, ne peut demeurer insensible à tout ce qui sert au vrai bien de l'homme, comme elle ne peut demeurer indifférente à ce qui le menace. Le Concile Vatican II, en divers passages de ses documents, a exprimé cette sollicitude fondamentale de l'Église, afin que la vie en ce monde soit « plus conforme à l'éminente dignité de l'homme » à tous points de vue, pour la rendre «t oujours plus humaine ». Cette sollicitude est celle du Christ lui-même, le bon Pasteur de tous les hommes.


    Jean-Paul II, encyclique Redemptor hominis, n° 13.

     

  • 26 janvier : le sens du bien commun

    Pour les grandes tâches collectives, ce n'est pas assez d'avoir de l'énergie et des aptitudes. Il y faut du dévouement. Il y faut de la vertu873d37c1c156e56ba3ee540000e2955f.jpg sacrifier au bien commun quelque chose de ce qu'on est, de ce qu'on a, de ce qu'on ambitionne  quelque chose de ce qu'on est, de ce qu'on a, de ce qu'on ambitionne. Il y faut, non l'effacement, mais l'abnégation des personnes. Car la splendeur et la puissance d'un ensemble exigent que chaque partie s'absorbe dans l'harmonie du tout. Ainsi d'une armée, d'un jardin, d'un orchestre, d'un monument.

    Ch. de Gaulle, Lettres, notes et carnets, vol. II, 1919-juin 1940, Paris, 1980, p. 361.