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orchestre

  • 26 janvier : le sens du bien commun

    Pour les grandes tâches collectives, ce n'est pas assez d'avoir de l'énergie et des aptitudes. Il y faut du dévouement. Il y faut de la vertu873d37c1c156e56ba3ee540000e2955f.jpg sacrifier au bien commun quelque chose de ce qu'on est, de ce qu'on a, de ce qu'on ambitionne  quelque chose de ce qu'on est, de ce qu'on a, de ce qu'on ambitionne. Il y faut, non l'effacement, mais l'abnégation des personnes. Car la splendeur et la puissance d'un ensemble exigent que chaque partie s'absorbe dans l'harmonie du tout. Ainsi d'une armée, d'un jardin, d'un orchestre, d'un monument.

    Ch. de Gaulle, Lettres, notes et carnets, vol. II, 1919-juin 1940, Paris, 1980, p. 361.