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foi - Page 14

  • Communion des saints (fin)

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    « Communion des saints. — Comment te l’expliquer ? — Tu sais ce que sont les transfusions de sang pour le corps ? Eh bien, c’est à peu près ce qu’est la communion des saints pour l’âme » (Chemin, n° 544). Cette transfusion surnaturelle se réalise à partir de la prière et des efforts quotidiens vécus pour autrui. Nous retrouvons là le sens de (lire la suite)

  • Acceptation de la mort

    Prière

    Ô Dieu, mon Père, Maître de la vie et de la mort, toi qui as établi par un décret immuable que tous les hommes doivent mourir, en châtiment adéquat de nos méfaits, regarde-moi, prosterné devant toi. Je déteste de tout mon cœur mes fautes passées, pour lesquelles j’ai mille fois mérité la mort, que j’accepte actuellement pour les expier et pour obéir à ton aimable volonté. Je mourrai avec joie, Seigneur, au moment, (lire la suite)

  • Les âmes du purgatoire

    medium_Amespurgatoire.jpgL’Église confesse que « ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 1030). Par le biais de la communion des saints, il s’établit une communication de biens spirituels entre elles et nous (lire la suite)

  • 2 novembre : prier pour les morts

    Novembre 2 : Suffrages pour les défunts

    Du latin suffragium, « recommandation », « appui », le mot « suffrage » désignait jadis les antiennes, oraisons et versets de l’office commémoratif d’un saint, au jour de sa célébration. De nos jours, le terme est employé à propos des prières et des actes de culte, qui ont une valeur satisfactoire en faveur des fidèles défunts, c’est-à-dire les âmes du purgatoire. (lire la suite)

  • 1er novembre : la communion des saints

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    Dans le « Je crois en Dieu », les baptisés affirment croire en « la communion des saints », qui n’est autre que l’Église dans sa triple dimension d’Église « triomphante » au ciel, d’Église « souffrante » au purgatoire et d’Église « militante » sur terre. Comme saint Paul l’expose, « de même que le corps est un, tout en ayant plusieurs membres, (lire la suite)

  • Les dix commandements

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    Le terme « commandement » peut faire peur, car il fait penser à une série de prescriptions, d’ordres, qui viennent en quelque sorte limiter la liberté de l’homme. C’est vrai dans le cas des lois humaines, qui encadrent la vie en société. Mais Dieu n’a pas pour objectif de brider la liberté humaine. Bien au contraire, il veut qu’elle s’exprime le plus possible. La liberté est un grand don qu’il a fait aux hommes, sans doute le plus grand après celui de la vie.
    Ces commandements ne constituent pas un carcan insupportable. « Combien j’aime ta loi, Yahvé ! (lire la suite)

  • Litanies du chapelet

    Litanies
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    La récitation du chapelet s’achève habituellement par les litanies de Lorette, une série d’invocations à la Sainte Vierge. Le mot « litanie » vient du grec litaneia, qui dérive lui-même de litê, « prière ». C’est une prière d’intercession dialoguée, adressée à Dieu ou à ses saints.
    Les litanies des saints commencent par des acclamations adressées à Dieu Un et Trine, puis comporte une série d’invocations de saints, auxquelles on répond : « priez pour nous », ora pro nobis, puis un ensemble de demandes auxquelles on répond : « délivre-nous, Seigneur », ou bien « écoute-nous, Seigneur ».
    Les litanies les plus connues s’adressent à la Vierge Marie et sont appelées « litanies de Lorette » parce qu’elles ont été particulièrement utilisées dans le sanctuaire de Notre-Dame de Lorette, en Italie. D’inspiration orientale, elles apparaissent en Occident au XIIème siècle, et sont attestées à partir de 1531. Le pape Sixte-Quint les approuva en 1587.
    Elles ont connu quelques modifications, la plus récente étant l’introduction, par le pape Jean-Paul II, de l’invocation Regina familiæ, ora pro nobis, « Reine de la famille, priez pour nous ».

  • 5ème mystère glorieux : le couronnement de la Sainte Vierge

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    Portée par les ans, Marie est entrée dans la gloire du ciel. Elle a atteint « l’état de bonheur suprême et définitif » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 1024) en quoi consiste le ciel. Elle qui est à la fois Fille de Dieu le Père, Mère de Dieu le Fils et Épouse de Dieu le Saint-Esprit, voit les trois Personnes divines en « face à face » (1 Corinthiens 13, 12). (lire la suite)

  • 28 octobre : saints Simon et Jude

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    Au cours de l'audience générale du mercredi 11 octobre 2006, le pape Benoît XVI a présenté la figure des apôtres saint Simon le Cananéen et saint Jude Thaddée :
    Nous prenons aujourd'hui en considération deux des douze Apôtres:  Simon le Cananéen et Jude Thaddée (qu'il ne faut pas confondre avec Judas Iscariote). Nous les considérons ensemble, non seulement parce que dans les listes des Douze, ils sont toujours rappelés l'un à côté de l'autre (lire la suite)

  • 4ème mystère glorieux : l'Assomption de la Sainte Vierge

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    Aucun texte du Nouveau Testament ne nous donne une quelconque indication sur la fin de la vie de la Vierge Marie. Selon une certaine tradition, les apôtres se trouvèrent tous auprès d’elle quand le moment vint où elle devait quitter ce monde. Mais nous ignorons tout de l’événement, au point que nous ne savons pas si Marie est morte ou (lire la suite)