Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement
est important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.
Jean-Paul II, 29 septembre 1979.
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Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement
est important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.
Jean-Paul II, 29 septembre 1979.
La première condition pour faire le bien, c'est de faire le bien... Il y aurait beaucoup plus de chrétiens, si nous étions plus chrétiens.
Ch. F. Cuttaz, L'Enfant de Dieu ou l'Amour du Père,Paris, 1955, p. 441.
Le progrès de la liberté de l'homme coïncide avec celui de sa divinisation : plus l'âme est unie à Dieu par l'amour, plus elle est libre. C'est le sens le plus profond de la liberté sur lequel revient constamment sainte Thérèse. Être libre, c'est aimer Dieu de toutes ses forces. Et cela est ainsi parce que les traits qui définissent le mieux la liberté - à savoir l'activité, la possession et l'ouverture - se présentent de la manière la plus marquante dans l'amour de Dieu tel que sainte Thérèse nous en parle.
M. I. Alvira, Vision de l'homme selon sainte Thérèse d'Avila. Une philosophie de l'héroïsme, Paris, 1992, p. 395.
On a dit que du dictionnaire français, il faudrait rayer le mot « impossible » ;
du dictionnaire chrétien, il faut rayer le mot « difficile ».
Il n'y a pas de difficulté dans la vertu, ou s'il y en a, c'est simplement parce que vous abordez votre devoir actuel avec une volonté insuffisante ;
vous hésitez, vovus tremblez devant lui, vous ne l'abordez pas ;
ou si vous l'abordez, c'est en rechignant, de loin, en vous tâtant.
Mais, voyons donc... essayez... le devoir ne se fera pas tout seul !
Mettez-y du courage.
Croyez-moi, les choses ne sont difficiles que de loin, et s'il y a dans votre cœur de l'amour, gros comme un grain de sénevé, il n'est pas possible que les difficultés y résistent : elles s'évanouissent et disparaissent.
Dom Paul Delatte, Contempler l'invisible, Solesmes, 1964, p. 107.
Mettons dans un seul cœur l'amour de toutes les mères pour leurs enfants, de tous les époux pour leurs épouses, de tous les anges et saints du Ciel pour leurs pieux serviteurs : nous n'atteindrons pas à l'amour que Marie porte à une seule âme.
Saint Alphonse de Liguori, Les Gloires de Marie.
Au moment de vous rappeler que le chrétien doit observer une chasteté parfaite, je m’adresse à tous : aux célibataires, qui doivent s’en tenir à une parfaite continence, et aux époux, qui vivent chastement en respectant les obligations propres à leur état.
Avec l’esprit de Dieu, la chasteté n’est pas une charge ennuyeuse et humiliante. C’est une affirmation joyeuse : la volonté, la maîtrise, la victoire sur soi-même, ce n’est pas la chair qui les donne, ce n’est pas de l’instinct qu’elles procèdent, mais de la volonté, à plus forte raison si celle-ci est unie à la volonté de Dieu. Pour être chastes, pas simplement continents ou fidèles, nous devons soumettre nos passions au contrôle de la raison, mais pour un motif élevé, en suivant l’élan de l’Amour.
Saint Josémaria, Amis de Dieu, n° 177.
En Jésus la joie prend toute sa force dans l'élan vers le Père. Il en est ainsi pour les joies provoquées et soutenues par l'Esprit Saint dans la vie des hommes : leur force vitale secrète les oriente dans le sens d'un amour rempli de gratitude envers le Père. Chaque vraie joie a le Père comme fin ultime.
Jean-Paul II, Audience générale, 19 juin 1991, n° 5.
Pour moi, la prière, c'est un élan du cœur, c'est un simple regard jeté vers le Ciel,
c'est un cri de reconnaissance et d'amour au sein de l'épreuve
comme au sein de la joie ;
enfin c'est quelque chose de grand, de surnaturel, qui me dilate l'âme et m'unit à Jésus.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, Manuscrits autobiographiques.
Cantique à la Vierge Marie (3)
Les pommettes de ses deux joues rosissent à peine,
Surprise de savoir qu’on la proclame reine.
Tout lui apparaît sous un jour si naturel
Qu’elle entend le message, et voit ce qu’il recèle.
Immaculée dans sa conception, ornée
D’une sainteté hors pair, elle est qualifiée
Pour aimer le vouloir divin, se prosterner
Et accepter de mettre au monde un crucifié.
La Vierge se surprend, mais ne s’emballe pas :
Elle se tasse en se faisant toute petite,
Dans la dilection de Dieu elle s’abrite
Pour s’assurer que c’est bien un divin appât.
L’univers, même le temps, suspendent leur vol.
Partout, chacun retient sa respiration
En voyant s’accomplir cette aspiration
Des pécheurs, désireux de prendre leur envol.
L’espoir du monde se concentre à Nazareth,
Il dépend d’un mot, d’un seul, que doit prononcer
Myriam, et aussi de ce qu’elle veuille admettre
La vérité de ce qui lui est annoncé.
Le chant est affaire de joie et, si nous y réfléchissons plus attentivement, il est affaire d'amour. Donc, celui qui sait aimer la vie nouvelle sait chanter le chant nouveau. Qu'est-ce que la vie nouvelle ? Nous y sommes invités à cause du chant nouveau. Car tout appartient au même royaume : l'homme nouveau, le chant nouveau, le testament nouveau.
Saint Augustin, Homélie sur le psaume149.