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Spiritualité - Page 44

  • 13 février

    Il faut étudier la vie du Christ afin de la reproduire.

    Saint Jean de la Croix, <em>La Montée du Carmel</em> 1, 13, 3.



  • 4 février

    medium_Confession.jpegLa confession sacramentelle n'est pas un dialogue humain, mais un colloque divin : c'est un tribunal de justice, sûr et divin, et surtout un tribunal de miséricorde où siège un juge très aimant qui ne désire pas la mort du pécheur, mais veut qu'il se convertisse et vive (Ézéchiel 33, 11).

    Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 78.



  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

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    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto
    quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.


  • 2 fevrier

    Si quelqu'un rougit de moi et de mes paroles, le Fils de l'homme rougira de lui, lorsqu'il viendra dans sa gloire et dans celle du Père et des saints anges.

    Évangile selon saint Luc 9, 26.

  • 1er fevrier

    medium_TherseEnfantJesus3.2.jpgJe me figure mon âme comme un terrain libre et je prie la Sainte Vierge d'ôter les décombres qui pourraient l'empêcher d'être libre, ensuite je la supplie de dresser elle-même une vaste tente digne du ciel, de l'orner de ses propres parures et puis j'incite tous les saints et les anges à venir faire un magnifique concert. Il me semble lorsque Jésus descend dans mon coeur, qu'Il est content de se trouver si bien reçu et moi je suis contente aussi.


    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la sainte Face, Manuscrits autobiographiques.

  • 29 janvier

    medium_Trinite2.jpgDieu n'est pas solitude éternelle, mais cercle d'amour où il se donne et se redonne dans la réciprocité. Il est Père, Fils et Esprit Saint.

     

    Benoît XVI, homélie, 24 décembre 2005. 

  • 26 janvier

    medium_DieuPere1.2.jpgDieu n'est pas loin de nous, inconnu, énigmatique, voire dangereux ; Dieu est proche de nous, si proche qu'il se fait enfant, et que nous pouvons " tutoyer " ce Dieu.

     

    Benoît XVI, homélie, 18 décembre 2005. 

  • 31 décembre

    Quelques pieux exercices, qui marquent la date du 31 décembre, ont la piété populaire pour origine. Dans la plus grande partie des pays occidentaux ce jour coïncide avec la fin de l’année civile. Cette fête conduit les fidèles à méditer sur le « mystère du temps » qui passe à la fois rapidement et inexorablement. Cette réflexion suscite en eux les deux réactions suivantes : tout d’abord, un sentiment mêlé de repentir et de regret pour les fautes qui ont été commises, et pour toutes les occasions de vivre dans la grâce de Dieu, qui ont été perdues durant l’année qui s’achève ; ensuite, le désir de remercier Dieu pour tous les bienfaits reçus de lui.
    medium_TeDeum1.jpg
    Cette double attitude a donné naissance respectivement à deux pieux exercices : d’une part, l’exposition prolongée du Saint-Sacrement qui permet aux communautés religieuses et aux fidèles de bénéficier de longs moments de prière, surtout silencieuse ; d’autre part, le chant du Te Deum, qui exprime la louange et l’action de grâces des fidèles pour tous les bienfaits obtenus de Dieu durant l’année qui va s’achever.
    Dans certains lieux, surtout dans les communautés monastiques et dans les associations de laïcs, dont la spiritualité accorde une place importante à la dévotion eucharistique, la nuit du 31 décembre est marquée par une veillée de prières, qui s’achève par la célébration de la Sainte Messe. Il convient d’encourager l’organisation de telles veillées ; toutefois, celles-ci doivent être célébrées en tenant compte des éléments liturgiques de l’Octave de Noël ; de plus, elles doivent être conçues non seulement comme un acte de réparation tout à fait juste face à l’insouciance et à la débauche, qui marquent le passage d’une année à l’autre, mais encore comme une veillée offerte au Seigneur pour les prémices du nouvel an.

    Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°114.