Si je perdais deux fois plus temps au jeu ou à la chasse, vous ne m'en
feriez pas grief.
Saint Louis, à ceux qui lui reprochaient d'entendre deux messes par jour et d'ajouter à l'office quotidien celui des morts.
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Si je perdais deux fois plus temps au jeu ou à la chasse, vous ne m'en
feriez pas grief.
Saint Louis, à ceux qui lui reprochaient d'entendre deux messes par jour et d'ajouter à l'office quotidien celui des morts.
De nombreuses personnes nous manifestent la tentation de penser ainsi à l'égard des autres : « Mais pourquoi ne les laissons-nous pas en paix ? Ils ont leur authenticité, leur vérité. Nous avons la nôtre. Coexistons donc pacifiquement, laissant chacun comme il est, afin qu'il recherche de la meilleure façon possible son authenticité. » Mais comment la propre authenticité peut-elle être trouvée si, dans la profondeur de notre cœur, il y a l'attente de Jésus et que la véritable authenticité de chacun se trouve précisément dans la communion avec le Christ, et pas sans le Christ ? Autrement dit : si nous avons trouvé le Seigneur et si, pour nous, Il est la lumière et la joie de la vie, sommes-nous sûrs qu'à une autre personne qui n'a pas trouvé le Christ ne manque pas une chose essentielle et que cela ne soit pas notre devoir de lui offrir cette réalité essentielle ? Laissons ensuite à la direction de l'Esprit Saint et à la liberté de chacun ce qui arrivera. Mais si nous sommes convaincus et avons fait l'expérience du fait que, sans le Christ, la vie est incomplète, qu'une réalité manque, la réalité fondamentale, nous devons également être convaincus que nous ne faisons tort à personne si nous lui montrons le Christ et si nous lui offrons la possibilité de trouver ainsi sa véritable authenticité, la joie d'avoir trouvé la vie.
Benoît XVI, Discours à l'issue de la rencontre avec le clergé romain, 13 mai 2005.
Pense d’abord aux autres. Ainsi tu passeras par la terre, en commettantcertes des erreurs, — elles sont inévitables — mais en laissant derrière toi un sillage de bien. Et quand sonnera l’heure de ta mort, qui viendra inexorablement, tu l’accueilleras avec joie, comme le Christ ; car, comme Lui, nous ressusciterons nous aussi pour recevoir la récompense de son Amour.
Saint Josémaria, Chemin de Croix, 14ème station, point n° 4.
La messe est le centre et la racine de la vie spirituelle du chrétien.
Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 87.
Qu'est-ce qui peut bien troubler le saint ? La mort ? Non, car il la désire en récompense. Les insultes ? Non, parce que le Christ nous a appris à les souffrir : "Heureux êtes-vous si l'on vous insulte, si l'on vous persécute" (Matthieu 5, 11). La maladie ? Pas davantage, car l'Écriture nous donne ce conseil : "Tout ce qui t'advient, accepte-le et, dans les vicissitudes de ta pauvre condition, montre-toi patient, car l'or est éprouvé dans les feu, et les élus dans la fournaise de l'humiliation" (Siracide 2, 4-5). Que reste-t-il donc qui soit capable de troubler le saint ? Rien. Tout dans le monde, jusqu'à la joie, finit ordinairement dans la tristesse ; mais pour celui qui vit suivant le Christ, les peines elles-mêmes se changent en joie.
Saint JEAN CHRYSOSTOME, <em>Homélie 18</em>.
La prière doit accompagner la lecture de la Sainte Écriture pour que s'établisse un dialogue entre Dieu et l'homme, car "c'est à lui que nous nous adressons quand nous prions, c'est lui que nous écoutons quand nous lisons les oracles divins" (saint Ambroise, </em>De officiis ministrorum</em> 1, 20, 88).
Concile Vatican II, constitution dogmatique sur la Révélation <em>Dei Verbum</em>, n° 25.
Si tu t'écartes un peu du chemin, peu importe que ce soit à droite ou à gauche ; ce qui compte, c'est que tu quittes le vrai sentier.
Saint Jérôme, <em>In Evangelium Matthaei commentarium</em> 6, 1.