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Jean-Paul II - Page 5

  • Le Sacré Coeur

     

    Alpes6.jpgL'homme est aimé de Dieu! Telle est l'annonce si simple et si bouleversante que l'Eglise doit donner à l'homme. La parole et la vie de chaque chrétien peuvent et doivent faire retentir ce message: Dieu t'aime. Le Christ est venu pour toi, pour toi le Christ est «le Chemin, la Vérité et la Vie!» (Jn 14, 6).

     

    Jean-Paul II, exhortation apostolique Les fidèles du Christ, n° 34.

  • Ne pas toucher à l'Eucharistie

    31.Hauterive.EgliseStPaul.Maitreautel.jpgOn ne saurait tolérer qu'un particulier touche de sa propre autorité aux formules dont le Concile de Trente s'est servi pour proposer à la foi le mystère eucharistique. C'est que ces formules, comme les autres que l'Église adopte pour l'énoncé des dogmes de foi, expriment des concepts qui ne sont pas liés à une certaine forme de culture, ni à une phase déterminée du progrès scientifique, ni à telle ou telle école théologique ; elles reprennent ce que l'esprit humain emprunte à la réalité par l'expérience universelle et nécessaire; et en même temps ces formules sont intelligibles pour les hommes de tous les temps et de tous les lieux.

     

    Paul VI, encyclique Mysterium fidei, 3 septembre 1965.

  • La valeur éducative de la souffrance

    Malades.Lourdes.jpgDéjà dans l'Ancien Testament, nous remarquons une tendance qui cherche à dépasser l'idée selon laquelle la souffrance n'a de sens que comme punition du péché, car on souligne en même temps là valeur éducative de cette peine qu'est la souffrance. Ainsi donc, dans les souffrances infligées par Dieu au Peuple élu est contenue une invitation de sa miséricorde, qui châtie pour amener à la conversion : « Ces persécutions ont eu lieu non pour la ruine mais pour la correction de notre peuple » (2 Maccabées 6, 12).

     

    Jean-Paul II, lettre apostolique Salvifici doloris sur la valeur salvatrice de la douleur, 11 février 1984, n° 12.

  • Le danger du matérialisme

     

    Rome.StAgostino.Dallage.JPGIl existe déjà un danger réel et perceptible : tandis que progresse énormément la domination de l'homme sur le monde des choses, l'homme risque de perdre les fils conducteurs de cette domination, de voir son humanité soumise de diverses manières à ce monde et de devenir ainsi lui-même l'objet de manipulations multiformes - pas toujours directement perceptibles - à travers toute l'organisation de la vie communautaire, à travers le système de production, par la pression des moyens de communication sociale. L'homme ne peut renoncer à lui-même ni à la place qui lui est propre dans le monde visible, il ne peut devenir esclave des choses, esclave des systèmes économiques, esclave de la production, esclave de ses propres produits. Une civilisation au profil purement matérialiste condamne l'homme à un tel esclavage, même si, bien sûr, cela arrive parfois à l'encontre des intentions et des principes de ses pionniers.

     

    Jean-Paul II, encyclique Redemptor hominis, n° 16.

     

  • Jésus est proche de la souffrance

     

    Lourdes.Malades.Hospitalite.jpgLe Règne que Jésus inaugure est le Règne de Dieu. Jésus lui-même révèle qui est ce Dieu qu’il désigne par le terme familier de « Abba », Père (Marc 14, 36). Dieu, révélé surtout dans les paraboles (cf. Luc 15, 3-32 : Matthieu 20, 1-16), est sensible aux besoins et aux souffrances de tout homme : il est un Père plein d’amour et de compassion qui pardonne et accorde gratuitement les grâces demandées.

     

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 13.

     

  • Les pèlerinages à Marie

    En ce mois de mai consacré à Marie et où il est traditionnel de partir en pèlerinage vers ses sanctuaires, voici quelques mots du Serviteur de Dieu Jean-Paul II qui peuvent nous aider à comprendre cette démarche : 56.Jousselin.NDduRoncier.NDRoncienrGueritAveugle.JPG

    Les sanctuaires dédiés à la Sainte Vierge, disséminés partout dans le monde, sont comme des bornes milliaires dressées pour rythmer les temps de notre itinéraire terrestre : ils nous permettent de prendre un moment de repos au cours du voyage et de retrouver la joie et la sécurité pour la route, en même temps que la force d'aller de l'avant ; ils sont comme les oasis qui surgissent dans le désert pour offrir de l'eau et de l'ombre.

     

    Jean-Paul II, Discours aux prêtres, aux religieux et aux sœurs du diocèse de Livourne réunis dans le sanctuaire marial de Montenero, 19 mars 1982

  • Le Salve Regina

     

    NDPilier.Saragosse.jpegCette prière culmine dans la demande : « Montrez-nous Jésus. »

    C'est ce que Marie réalise en permanence, comme cela est figuré dans tant d'images de la Sainte Vierge répandues (...).

    Elle, avec son Fils dans les bras, comme ici au Pilar, nous le montre sans cesse comme « le chemin,n la vérité et la vie » (Jn 14, 6).

    Parfois, avec son Fils mort sur ses genoux, elle nous rappelle la valeur infinie du sang de l'Agneau qui a été répandu pour notre salut (cf. 1 P 1, 18s ; Ep 1, 7).

    En d'autres occasions, en s'inclinant vers les hommes, elle rapproche son Fils de nous, et nous fait sentir la proximité de celui qui est la révélation radicale de la miséricorde (cf. Dives in misericordia, n° 8), se manifestant ainsi elle-même comme la Mère de la Miséricorde (ibid., n° 9).

     

    Jean-Paul II, À Notre-Dame del Pilar de Saragosse, novembre 1979.

  • La prière de l'Église

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    L'Église prie, l'Église veut prier, elle désire être au service du besoin le plus simple et en même temps le plus splendide don de l'esprit humain qui se réalise dans la prière. La prière est en effet la première expression de la vie intérieure de l'homme, la première condition de la liberté authentique de l'esprit.

    L'Église prie et veut prier pour entendre la voix intérieure de l'Esprit divin, afin qu'en nous et avec nous il puisse parler de toute la création avec des gémissements indicibles. L'Église prie et veut prier pour répondre aux besoins de plus profond de l'homme, qui est parfois tellement réduit et limité par les conditions de sa vie quotidienne, par les problèmes matériels, par la faiblesse, le péché, le découragement et par une vie qui lui semble ne pas avoir de sens. La prière donne un sens à toute la vie, à chaque instant, en toutes circonstances.

     

    Jean-Paul II, Allocution à la Menterolla, 29 octobre 1978.

  • Temps de Noël

    ArbreSteParente.jpg

    Cette nuit l'humanité entière a reçu le Don le plus grand ! Cette nuit, chaque homme reçoit le Don le plus grand ! Dieu lui-même devient Don pour l'homme. Il fait le Don de lui-même pour la nature humaine. Il entre dans l'histoire de l'homme, non plus seuleemnt par la parole qu'il fait parvenir à l'homme, mais par le Verbe qui s'est fait chair !

    Je vous demande à tous : avez-vous conscience de ce Don ?

    Êtes-vous prêtes à répondre par votre don à ce Don de Dieu, comme ces bergers de Bethléem qui, eux, ont su répondre... ?

    Et je vous souhaite, du fond de cette nuit de Bethléem, d'accepter le Don de Dieu qui s'est fait homme.

    Je vous souhaite de répondre à ce Dn par votre propre don !

     

    Jean-Paul II, Homélie pour la Messe de Minuit, 24 décembre 1980.

  • Sainte Famille

    75.10.StLaurent.SteFamille1.JPGVous tous pour qui ce Noël est le signe de l'espérance, je vous invite à cette union spirituelle ! Entourons d'une large, très large couronne de cœurs le lieu où Dieu s'est fait homme. Formons une couronne autour de la Sainte Vierge qui a donné la vie humaine dans la nuit de la naissance de Dieu ! Entourons la Sainte Famille !

     

    Jean-Paul II, Message de Noël, 25 décembre 1980.