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ViergeMarie

  • 15 juillet : le chapelet et le marechal Foch

    Foch, le vainqueur de la Grande Guerre de 1914-1918, ne consentait pas qu'on lui attribuât la gloire de la victorie, mais désirait qu'on le fît à Notre-Dame, disant : « J 'ai consacré intérieurement mes armées à la Sainte Vierge dont je récitais le chapelet tous les jours, même au plus fort de la bataille, quand je n'avais de repos ni le jour ni la nuit. Combien de fois n'ai-je pas vu de manière palpable son intervention manifeste, soit dans les décisions à prendre, soit dans le choix de la tactique à employer. Croyez-en donc un vieux soldat mûri par l'expérience : ne laissez la récitation du chapelet sous aucun prétexte. »




  • 21 novembre : Présentation de Marie

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    L’Église fête aujourd’hui la Présentation de la Vierge Marie au Temple de Jérusalem. Le théologien grec Grégoire de Palamas (1296-1359) défend la tradition selon laquelle Marie a été accueillie à l’âge de trois ans dans le Saint des Saints du Temple, où elle resta, « recevant sa nourriture (lire la suite)

  • 7 octobre : Notre-Dame du Rosaire

    Aujourd’hui, 7 octobre, l’Église célèbre la Sainte Vierge sous l’invocation de Notre-Dame du Rosaire.
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    Le pape Léon XIII écrivait que, parmi ses différents titres, « le rosaire a celui-ci de très remarquable qu’il a été institué surtout pour implorer le patronage de la Mère de Dieu contre les ennemis du nom chrétien. À ce point de vue, personne n’ignore qu’il a souvent et beaucoup servi à soulager les maux de l’Église (lire la suite)

  • Le rosaire

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    Le rosaire, du latin rosarium, "couronne", est une pratique de piété principalement diffusée par lesdominicains de sorte qu'une tradition en attribue l'origine à leur fondateur, saint Dominique (v. 1170-1221), qui l'aurait reçue directement de la Vierge Marie. (lire la suite)

  • 21 novembre : Présentation de Marie

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    L’Église fête aujourd’hui la Présentation de la Vierge Marie au Temple de Jérusalem. Le théologien grec Grégoire de Palamas (1296-1359) défend la tradition selon laquelle Marie a été accueillie à l’âge de trois ans dans le Saint des Saints du Temple, où elle resta, « recevant sa nourriture de la main d’un ange » jusqu’au moment où elle fut en âge de se marier. Elle s’offrit elle-même spontanément à Dieu, sous l’action du Saint-Esprit, de la grâce duquel elle était remplie depuis sa conception immaculée, comme le souligne la brève explication donnée pour la fête dans la Liturgie des heures.
    Le jésuite espagnol François de Torres (1509 ?-1584) montra au pape Pie V, qui voulait la supprimer, que cette fête était fort ancienne : elle fut célébrée pour la première fois en l’église Sainte-Marie la Neuve, ouverte au culte près du parvis du Temple en 543. L’empereur byzantin Michel Commène en fit une fête fériée en 1166. Torres mourut d’ailleurs le jour de la Présentation de Marie.
    Le pape Grégoire XI autorise les frères mineurs (ou Franciscains) et le roi de France de célébrer cette fête importée d’Orient. La spiritualité de saint François de Sales et celle liée au courant du cardinal de Bérulle contribuèrent à son extension, Marie étant ainsi proposée comme modèle pour ceux qui se consacrent pleinement à Dieu en devenant prêtre ou religieux.
    Le fait de la Présentation n’est raconté que par l’évangile apocryphe de Jacques, datant du IIe siècle.
    Dans un de ses sermons, saint Augustin montre que Marie a cru par la foi et conçu également par la foi. Mais il précise aussi qu’en un sens, l’Église est plus que Marie : « Marie était bienheureuse, parce que, avant même d’enfanter le Maître, elle l’a porté dans son sein. […] Sainte Marie, heureuse Marie ! Et pourtant l’Église vaut mieux que la Vierge Marie. Pourquoi ? Parce que Marie est une partie de l’Église, un membre éminent, un membre supérieur aux autres, mais enfin un membre du corps entier. S’il s’agit du corps entier, le corps est certainement davantage qu’un seul membre. Le Seigneur est la tête, et le Christ total est à la fois la tête et le corps. Bref, nous avons un chef divin, nous avons Dieu pour tête.
    Donc, mes très chers, regardez vous-mêmes : vous êtes les membres du Christ, et vous êtes le corps du Christ. Comment l’êtes-vous ? Faites attention à ce qu’il dit : Voici ma mère et mes frères. Comment serez-vous la mère du Christ ? Celui qui entend, celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère. En effet, je comprends bien : mes frères ; je comprends bien : mes sœurs. Car il n’y a qu’un héritage : c’est pourquoi, le Christ, alors qu’il était le Fils unique, n’a pas voulu être seul : dans sa miséricorde, il a voulu que nous soyons héritiers du Père, que nous soyons héritiers avec lui. » (Sermon 25).

  • 1er octobre : mois du rosaire

    le Rosaire de la ViergeMarie dans laquelle il écrit (n° 2) : "Le Rosaire est ma prière préférée. C'est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. [...] On peut dire que le Rosaire est, d'une certaine manière, une prière-commentaire du dernier chapitre de la Constitution Lumen gentium du deuxième Concile du Vatican, chapitre qui traite de l'admirable présence de la Mère de Dieu dans le mystère du Christ et de l'Église. En effet, sur l'arrière-fond des Ave Maria défilent les principaux épisodes de la vie de Jésus Christ. Réunis en mystères joyeux, douloureux et glorieux, ils nous mettent en communion vivante avec Jésus à travers le cœur de sa Mère, pourrions-nous dire. En même temps, nous pouvons rassembler dans ces dizaines du Rosaire tous les événements de notre vie individuelle ou familiale, de la vie de notre pays, de l'Église, de l'humanité, c'est-à-dire nos événements personnels ou ceux de notre prochain, et en particulier de ceux qui nous sont les plus proches, qui nous tiennent le plus à cœur. C'est ainsi que la simple prière du Rosaire s'écoule au rythme de la vie humaine. »