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spiritualité - Page 28

  • Litanies du chapelet

    Litanies
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    La récitation du chapelet s’achève habituellement par les litanies de Lorette, une série d’invocations à la Sainte Vierge. Le mot « litanie » vient du grec litaneia, qui dérive lui-même de litê, « prière ». C’est une prière d’intercession dialoguée, adressée à Dieu ou à ses saints.
    Les litanies des saints commencent par des acclamations adressées à Dieu Un et Trine, puis comporte une série d’invocations de saints, auxquelles on répond : « priez pour nous », ora pro nobis, puis un ensemble de demandes auxquelles on répond : « délivre-nous, Seigneur », ou bien « écoute-nous, Seigneur ».
    Les litanies les plus connues s’adressent à la Vierge Marie et sont appelées « litanies de Lorette » parce qu’elles ont été particulièrement utilisées dans le sanctuaire de Notre-Dame de Lorette, en Italie. D’inspiration orientale, elles apparaissent en Occident au XIIème siècle, et sont attestées à partir de 1531. Le pape Sixte-Quint les approuva en 1587.
    Elles ont connu quelques modifications, la plus récente étant l’introduction, par le pape Jean-Paul II, de l’invocation Regina familiæ, ora pro nobis, « Reine de la famille, priez pour nous ».

  • 5ème mystère glorieux : le couronnement de la Sainte Vierge

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    Portée par les ans, Marie est entrée dans la gloire du ciel. Elle a atteint « l’état de bonheur suprême et définitif » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 1024) en quoi consiste le ciel. Elle qui est à la fois Fille de Dieu le Père, Mère de Dieu le Fils et Épouse de Dieu le Saint-Esprit, voit les trois Personnes divines en « face à face » (1 Corinthiens 13, 12). (lire la suite)

  • 28 octobre : saints Simon et Jude

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    Au cours de l'audience générale du mercredi 11 octobre 2006, le pape Benoît XVI a présenté la figure des apôtres saint Simon le Cananéen et saint Jude Thaddée :
    Nous prenons aujourd'hui en considération deux des douze Apôtres:  Simon le Cananéen et Jude Thaddée (qu'il ne faut pas confondre avec Judas Iscariote). Nous les considérons ensemble, non seulement parce que dans les listes des Douze, ils sont toujours rappelés l'un à côté de l'autre (lire la suite)

  • 4ème mystère glorieux : l'Assomption de la Sainte Vierge

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    Aucun texte du Nouveau Testament ne nous donne une quelconque indication sur la fin de la vie de la Vierge Marie. Selon une certaine tradition, les apôtres se trouvèrent tous auprès d’elle quand le moment vint où elle devait quitter ce monde. Mais nous ignorons tout de l’événement, au point que nous ne savons pas si Marie est morte ou (lire la suite)

  • 3ème mystère glorieux : la descente du Saint-Esprit

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    Dix jours s’écoulent entre l’Assomption de Jésus au ciel et la venue du Saint-Esprit qu’il a promis d’envoyer d’auprès de son Père. Dix jours d’intense préparation spirituelle vécus par les apôtres dans le recueillement et la proximité de la très Sainte Vierge : « Eux tous, d’un même cœur, persévéraient dans la prière, ainsi que des femmes, Marie, la mère de Jésus, et des frères » (Actes 1, 14). (lire la suite)

  • 2ème mystère glorieux : l'Ascension de Jésus

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    Après le dimanche de Pâques, « Jésus montra de bien des manières qu’il était vivant », apparaissant à ses apôtres et ses disciples « au cours de quarante jours et les entretenant du royaume de Dieu » (Actes 1, 3). La foi des apôtres a été fortifiée par la Résurrection du Christ et leur vie est transformée. Certes, (lire la suite)

  • 1er mystère glorieux : la Résurrection

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Le surlendemain de la mort du Christ sur la Croix, une fois le grand sabbat de la Pâque achevé, les saintes femmes « qui étaient venues avec lui de Galilée » (Luc 23, 55), prennent « alors qu’il faisait encore nuit » (Jean 20, 1) « les aromates qu’elles avaient préparées » (Luc 24, 1) pour achever de « l’embaumer » (Marc 16, 1). Il s’agit de (lire la suite)

  • 5ème mystère douloureux : la mort du Christ

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    Une fois en Croix, Jésus ne vit plus très longtemps. En effet, quand les soldats viennent briser les jambes des trois suppliciés — deux malfaiteurs flanquaient Jésus —, ils durent constater « qu’il était déjà mort » (Jean 19, 32), et « Pilate s’étonna qu’il fût déjà mort et, faisant venir le centurion,il lui demanda s’il était mort depuis longtemps » (Marc 15, 44).
    Toutefois, Jésus n’est pas mort en un clin d’œil. Il a eu le temps de prononcer des paroles (lire la suite)

  • 4ème mystère douloureux : le portement de la Croix

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    « Si c’est celui-ci que tu libères, tu n’es pas ami de César : quiconque se fait roi se déclare contre César » (Jean 19, 17). C’est le raisonnement qui fait définitivement fléchir Pilate. En fin de compte, toute cette histoire de Nazaréen n’est qu’une question de rivalité entre Juifs et il ne va pas prendre des risques pour cela. S’il peut obtenir le calme — alors que toute la ville est en ébullition — (lire la suite)

  • 3ème mystère douloureux : le couronnement d'épines

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    Il faut que l’Amour du Christ soit grand — démesuré à la démesure de sa condition infinie de Fils de Dieu — pour accepter de supporter de telles avanies.
    C’est un acte de cruauté inutile. Dans l’état dans lequel il se trouvait, Jésus était déjà un homme mort… Mais il est la proie facile d’une garnison désœuvrée. (lire la suite)