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Jésus-Christ - Page 14

  • 13 février

     

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    Le sacrement le plus vénérable est la très sainte Eucharistie dans laquelle le Christ Seigneur lui-même est contenu, offert et reçu, et par laquelle l'Église vit et agit continuellement. Le sacrifice eucharistique, mémorial de la mort et de la résurrection du Seigneur, dans lequel le Sacrifice de la croix est perpétué au long des siècles, est le sommet et la source de tout le culte et de toute la vie chrétienne, par lequel est signifiée et réalisée l'unité du peuple de Dieu et s'achève la construction du Corps du Christ. En effet, les autres sacrements et toutes les œuvres d'apostolat de l'Église sont étroitement liés à la très sainte Eucharistie et y sont ordonnés.

    Code de droit canonique, canon 897.



  • 11 février

    Que medium_Coeur1.jpgnotre cœur soit la bibliothèque du Christ.

     

    Saint Jérôme, <em>Epistolae</em> 60, 10.

  • 13 février

    Il faut étudier la vie du Christ afin de la reproduire.

    Saint Jean de la Croix, <em>La Montée du Carmel</em> 1, 13, 3.



  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.

  • 28 février

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    J’ai très souvent répété ce vers de l’hymne eucharistique : <em>peto
    quod petivit latro pœnitens</em>, et je m’émeus toujours : demander, comme le larron repenti ! Il a reconnu que lui méritait bien ce châtiment atroce... Et un seul mot lui a suffi pour ravir le cœur du Christ et ainsi <em>s’ouvrir</em>les portes du Ciel.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 12ème station, point n° 4.


  • 31 janvier

    medium_JCetCroix.2.jpgLoin d'être à jamais démodée et dépassée, la religion de la Croix, dans son intégralité, est cette perle de grand prix dont l'acquisition justifie plus que jamais le sacrifice de tout ce que nous possédons.

    René Girard.

  • 30 janvier

    medium_JCentreeJerusalem3.jpgL'essence du christianisme n'est pas une idée ,mais une Personne. Le christianisme est avant tout d'abord un événement, une Personne. Et dans la Personne, nous trouvons ensuite la richesse des contenus.

     

    Benoît XVI, Discours à l'issue de la recontre avec le clergé de Rome, 13 mai 2005 

  • 31 décembre

    Quelques pieux exercices, qui marquent la date du 31 décembre, ont la piété populaire pour origine. Dans la plus grande partie des pays occidentaux ce jour coïncide avec la fin de l’année civile. Cette fête conduit les fidèles à méditer sur le « mystère du temps » qui passe à la fois rapidement et inexorablement. Cette réflexion suscite en eux les deux réactions suivantes : tout d’abord, un sentiment mêlé de repentir et de regret pour les fautes qui ont été commises, et pour toutes les occasions de vivre dans la grâce de Dieu, qui ont été perdues durant l’année qui s’achève ; ensuite, le désir de remercier Dieu pour tous les bienfaits reçus de lui.
    medium_TeDeum1.jpg
    Cette double attitude a donné naissance respectivement à deux pieux exercices : d’une part, l’exposition prolongée du Saint-Sacrement qui permet aux communautés religieuses et aux fidèles de bénéficier de longs moments de prière, surtout silencieuse ; d’autre part, le chant du Te Deum, qui exprime la louange et l’action de grâces des fidèles pour tous les bienfaits obtenus de Dieu durant l’année qui va s’achever.
    Dans certains lieux, surtout dans les communautés monastiques et dans les associations de laïcs, dont la spiritualité accorde une place importante à la dévotion eucharistique, la nuit du 31 décembre est marquée par une veillée de prières, qui s’achève par la célébration de la Sainte Messe. Il convient d’encourager l’organisation de telles veillées ; toutefois, celles-ci doivent être célébrées en tenant compte des éléments liturgiques de l’Octave de Noël ; de plus, elles doivent être conçues non seulement comme un acte de réparation tout à fait juste face à l’insouciance et à la débauche, qui marquent le passage d’une année à l’autre, mais encore comme une veillée offerte au Seigneur pour les prémices du nouvel an.

    Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°114.

  • La Sainte Famille

    medium_SteFamille2.jpgL’Église fête demain la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph (le dimanche dans l’octave de la Nativité). « Elle offre [ainsi] aux familles chrétiennes des possibilités très amples pour accomplir certains rites, ou pour organiser des moments de prières adaptés à cette célébration liturgique.
    L’évocation de Joseph, de Marie et de l’Enfant Jésus qui se rendent à Jérusalem, comme toute famille juive fidèle à la Loi, en vue d’accomplir les rites de la Pâque (cf. Luc 2, 41-42), favorisera l’accueil de la proposition pastorale consistant à encourager tous les membres de la famille à participer ensemble, en ce jour, à la célébration de l’Eucharistie. De même, cette fête constitue un cadre très approprié pour le renouvellement de la consécration des différents membres de la famille à la Sainte Famille de Nazareth, ainsi que la bénédiction des enfants, prévue dans le Rituel, et, si l’occasion se présente, le renouvellement des engagements des époux, devenus des parents, prononcés le jour de leur mariage, de même que l’échange des promesses par lesquelles des fiancés rendent public leur projet de fonder une nouvelle famille.
    Toutefois, en dehors du jour même de cette fête, les fidèles se confient volontiers à la Sainte Famille de Nazareth dans de nombreuses circonstances de leur vie: ainsi, beaucoup font partie de l’Association de la Sainte Famille dans le but de mieux conformer la vie de leur propre famille au modèle de la Famille de Nazareth; de même, nombreux sont les fidèles qui adressent de fréquentes prières à la Sainte Famille pour se placer sous sa protection et demander son aide à l’heure de la mort. »

    Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°112.