Il y a un an, paraissait en librairie mon livre Les mots du christianisme. Catholicisme — Orthodoxie — Protestantisme, publié par Fayard.
Voici un florilège de commentaires :
« Ce monument de science et d’érudition, dense et maniable, vient à son heure et deviendra vite l’un des usuels les plus consultés de nos bibliothèques » (Bernard Barbiche, Revue d’Histoire de l’Église de France 92 (2006), n° 228)
« Un outil indispensable pour tous ceux que leur travail ou leurs études mettent en contact avec la culture chrétienne » (N. S. ,La Croix, 27 octobre 2005)
" Signalons une intéressante innovation de l'auteur: des références artistiques. […] Souhaitons que l'ouvrage devienne l'outil incontournable qu'il mérite de devenir " (Aventures et dossiers secrets de l'Histoire, septembre 2006)
« Pour les amateurs d’art et tout simplement les lettrés, ceux qui respirent la culture, il est l’instrument qui permet de retrouver la signification de notre langage et de ce qui en découle » (Bertrand Galimard Flavigny, Les Petites Affiches, 25 avril 2006)
« Un des grands intérêts de ce travail est de clairement distinguer les trois principales branches du christianisme, lorsque cela est nécessaire. Mais aussi d’être érudit en même temps que clairement accessible, et d’offrir de brillantes surprises » (La Presse littéraire, février 2006)
" Un gros et foisonnant dictionnaire, infiniment plus complet […] et incomparablement plus sérieux que tous les manuels de culture religieuse à usage d'étudiants (et même de professeurs) " (Cl. Barthe, Catholica, automne 2006)
« Il faudra offrir ce dictionnaire à nos grands adolescents pour qu’ils complètent leur propre culture chrétienne et ne se contentent pas de notions vagues, imprécises, sans consistance » (Stéphen Vallet, L’Homme Nouveau, 10 juin 2006)
« C’est un ouvrage rédigé de l’intérieur de l’Église catholique, dans un esprit à la fois « romain » et objectif, aussi éloigné des sympathies modernistes que du penchant intégriste » (H.H., Le Bulletin des Lettres, février 2006)
« Un outil irremplaçable qui puise à la source de trois traditions chrétiennes » (Notre Histoire, février 2006)
Commentaires
16 octobre
Bravo pour votre ouvrage, qui a fait l'unanimité.
Ce jour est aussi celui de
SAINTE MARGUERITE-MARIE ALACOQUE
Confidente du Sacré-Coeur
(1648-1690)
C'est pour instituer et propager le culte de Son Sacré Coeur que Jésus-Christ Se choisit, au monastère de la Visitation de Paray-le-Monial, une servante dévouée en Marguerite-Marie Alacoque.
De nombreuses épreuves vinrent la détacher des vanités mondaines; les bonnes oeuvres, le soin des pauvres, la communion, faisaient sa consolation. Enfin elle entra à la Visitation de Paray-le-Monial. C'est là que Jésus l'attendait pour la préparer à sa grande mission.
Le divin Époux la forma à Son image dans le sacrifice, les rebuts, l'humiliation; Il la soutenait dans ses angoisses, Il lui faisait sentir qu'elle ne pouvait rien sans Lui, mais tout avec Lui. "Vaincre ou mourir!" tel était le cri de guerre de cette grande âme.
Quand la victime fut complètement pure, Jésus lui apparut à plusieurs reprises, lui montra Son Coeur Sacré dans Sa poitrine ouverte: "Voilà, lui dit-Il, ce Coeur qui a tant aimé les hommes et qui en est si peu aimé!" On sait l'immense expansion de dévotion au Sacré Coeur qui est sortie de ces Révélations. La canonisation de la Sainte a eu lieu le 13 mai 1920.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.