Pour avoir la force de contempler le malheur quand on est malheureux, il faut le pain surnaturel.
Simone Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, 1954, p. 16.
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Pour avoir la force de contempler le malheur quand on est malheureux, il faut le pain surnaturel.
Simone Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, 1954, p. 16.
Un vrai peintre, à force d'attention, est ce qu'il regarde. Pendant ce temps sa main bouge avec un pinceau au bout. (...) C'est ainsi que le Christ doit être notre modèle. Penser le Christ - le Christ, non notre image du Christ. Penser le Christ de toute son âme. Et pendant ce temps, l'intelligence, la volonté, etc., et le corps agissent. (...) Il faut à cet effet penser le Christ comme homme et Dieu.
Simone Weil, La Connaissance surnaturelle, Paris, 1950, p. 334-335.
Je crois que le mystère du beau dans la nature et dans les arts(seulement dans l'art de tout premier ordre, parfait ou presque) est un reflet sensible du mystère de la foi.
Simone Weil, Lettre à un religieux, Paris, 1951, p. 63.