Je désire t'aimer non seulement avec doucuer, mais avec sagesse.
Sainte Gertrude d'Hefta
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Je désire t'aimer non seulement avec doucuer, mais avec sagesse.
Sainte Gertrude d'Hefta
La sanctification est un don de Dieu et une initiative venant de lui, mais l'être humain est appelé à y répondre de tout son être, sans que rien de lui ne soit exclu.
Benoît XVI, homélie, 26 novembre 2005.
Ah ! Qu'on est heureux quand on prie ! […] Lorsque nous prions ou que nous venons à l'église pour prier, nous faisons plaisir aux trois Personnes de la Sainte Trinité. Si on pensait à ce bonheur !
Saint curé d'Ars, cité dans C. Lassagne, Le curé d'Ars au quotidien par un témoin privilégié, Paris, 2003, p. 75.
Quelques pieux exercices, qui marquent la date du 31 décembre, ont la piété populaire pour origine. Dans la plus grande partie des pays occidentaux ce jour coïncide avec la fin de l’année civile. Cette fête conduit les fidèles à méditer sur le « mystère du temps » qui passe à la fois rapidement et inexorablement. Cette réflexion suscite en eux les deux réactions suivantes : tout d’abord, un sentiment mêlé de repentir et de regret pour les fautes qui ont été commises, et pour toutes les occasions de vivre dans la grâce de Dieu, qui ont été perdues durant l’année qui s’achève ; ensuite, le désir de remercier Dieu pour tous les bienfaits reçus de lui.
Cette double attitude a donné naissance respectivement à deux pieux exercices : d’une part, l’exposition prolongée du Saint-Sacrement qui permet aux communautés religieuses et aux fidèles de bénéficier de longs moments de prière, surtout silencieuse ; d’autre part, le chant du Te Deum, qui exprime la louange et l’action de grâces des fidèles pour tous les bienfaits obtenus de Dieu durant l’année qui va s’achever.
Dans certains lieux, surtout dans les communautés monastiques et dans les associations de laïcs, dont la spiritualité accorde une place importante à la dévotion eucharistique, la nuit du 31 décembre est marquée par une veillée de prières, qui s’achève par la célébration de la Sainte Messe. Il convient d’encourager l’organisation de telles veillées ; toutefois, celles-ci doivent être célébrées en tenant compte des éléments liturgiques de l’Octave de Noël ; de plus, elles doivent être conçues non seulement comme un acte de réparation tout à fait juste face à l’insouciance et à la débauche, qui marquent le passage d’une année à l’autre, mais encore comme une veillée offerte au Seigneur pour les prémices du nouvel an.
Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°114.
L’Église fête demain la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph (le dimanche dans l’octave de la Nativité). « Elle offre [ainsi] aux familles chrétiennes des possibilités très amples pour accomplir certains rites, ou pour organiser des moments de prières adaptés à cette célébration liturgique.
L’évocation de Joseph, de Marie et de l’Enfant Jésus qui se rendent à Jérusalem, comme toute famille juive fidèle à la Loi, en vue d’accomplir les rites de la Pâque (cf. Luc 2, 41-42), favorisera l’accueil de la proposition pastorale consistant à encourager tous les membres de la famille à participer ensemble, en ce jour, à la célébration de l’Eucharistie. De même, cette fête constitue un cadre très approprié pour le renouvellement de la consécration des différents membres de la famille à la Sainte Famille de Nazareth, ainsi que la bénédiction des enfants, prévue dans le Rituel, et, si l’occasion se présente, le renouvellement des engagements des époux, devenus des parents, prononcés le jour de leur mariage, de même que l’échange des promesses par lesquelles des fiancés rendent public leur projet de fonder une nouvelle famille.
Toutefois, en dehors du jour même de cette fête, les fidèles se confient volontiers à la Sainte Famille de Nazareth dans de nombreuses circonstances de leur vie: ainsi, beaucoup font partie de l’Association de la Sainte Famille dans le but de mieux conformer la vie de leur propre famille au modèle de la Famille de Nazareth; de même, nombreux sont les fidèles qui adressent de fréquentes prières à la Sainte Famille pour se placer sous sa protection et demander son aide à l’heure de la mort. »
Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, Directoire sur la piété populaire et la liturgie, 17 décembre 2001, n°112.
Jean, le Voyant de Patmos
Jean, le théologien
[…] S'il est un thème caractéristique qui ressort des écrits de Jean, c'est l'amour. Ce n'est pas par hasard que j'ai voulu commencer ma première Lettre encyclique par les paroles de cet Apôtre : « Dieu est amour (Deus caritas est) ; celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu et Dieu demeure en lui » (1 Jean 4, 16). Il est très difficile de trouver des textes de ce genre dans d'autres religions. (lire la suite)
L’apôtre saint Jean présenté par le pape Benoît XVI, lors des audiences générales des 5 juillet, 9 et 23 août 2006
Jean, fils de Zébédée
Nous consacrons notre rencontre d'aujourd'hui au souvenir [de] Jean, fils de Zébédée et frère de Jacques. Son nom, typiquement juif, signifie « le Seigneur a fait grâce ». Il était en train de réparer les filets sur la rive du lac de Tibériade, quand Jésus l'appela avec son frère (lire la suite)
Nous en étions restés à l’idée qu’il convient de consacrer du temps à lire la Bible. Savoir y consacrer du temps, voilà une bonne résolution. Et ce, en toutes circonstances, habituellement. Y compris quand nous sommes en voyage. L’exemple de l’Éthiopien qui revient de Jérusalem et vers qui le diacre Philippe est envoyé a été compris dans ce sens. Nous voyons par là « combien il est grand de ne pas négliger la lecture de l’Écriture, même au cours d’un voyage. […] Je recommande cet exemple à ceux qui ne peuvent s’y décider, même chez eux, parce qu’ils vivent avec leur femme, qu’ils sont au service des armes, parce qu’ils ont des préoccupations familiales et des affaires (lire la suite)
Entre les premières Vêpres de Noël et la célébration de la Messe de minuit, les nombreuses expressions de la piété populaire, diverses selon les pays, comprennent en particulier la tradition des chants de Noël, qui contribuent à transmettre le message de joie et de paix propre à cette solennité. Or, il est opportun de valoriser ces différentes expressions et, le cas échéant, de les harmoniser avec les célébrations de la Liturgie. Il convient de citer, par exemple :
— la représentation des « crèches vivantes » (lire la suite)