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verité - Page 19

  • Jésus a-t-ilvoulu réellement fonder une Église ?

    La prédication de Jésus s’adresse en premier lieu à Israël, comme il la dit lui-même à ceux qui le suivaient : « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël » (Matthieu 15, 24). Dès le début de son activité, il invite tout le monde à la conversion : « Le temps est révolu, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous et croyez à l’Évangile » (Marc 1, 15). Cependant cet appel à la conversion personnelle n’est pas conçu dans un contexte individualiste, mais vise continuellement à réunir l’humanité dispersée pour constituer le Peuple de Dieu qu’il est venu sauver (lire la suite)

  • Jésus d'après les sources romaines et juives


    Les premières mentions de Jésus dans des documents littéraires en dehors des écrits chrétiens se trouvent chez des écrivains grecs et romains qui ont vécu dans la deuxième moitié du Ier siècle ou la première moitié du IIème siècle, très près par conséquent des événements.
    Le texte le plus ancien qui mentionne Jésus, bien que de façon implicite, a été écrit par un philosophe stoïcien (lire la suite)

  • Comment expliquer les miracles de Jésus ?


    Au nombre des accusations les plus anciennes portées par des Juifs et des païens contre Jésus se trouve celle d’être un magicien. Au IIème siècle, Origène réfute les accusations de magie que Celse faisait du Maître de Nazareth et auxquelles font allusion saint Justin, Arnobe et Lactance. Des traditions juives qui peuvent remonter au IIème siècle contiennent elles aussi des accusations de sorcellerie. En tout cas, on n’affirme pas qu’il n’aurait pas existé ni qu’il n’aurait pas réalisé des prodiges, mais (lire la suite)

  • La substance du message chrétien

    Elle consiste en l’annonce de Jésus-Christ. Il est la bonne nouvelle (l’évangile) que les apôtres ont proclamée dès le début, comme saint Paul l’écrit : « Je vous rappelle, frères, l'Évangile que je vous ai annoncé et que vous avez reçu, auquel aussi vous êtes restés fidèles, par lequel aussi vous serez sauvés […]. Je vous ai, en effet, transmis tout d’abord ce que moi-même j’avais reçu : que le Christ est mort pour nos péchés, conformément aux Écritures ; qu’il a été mis au tombeau et qu’il est ressuscité le troisième jour (lire la suire)

  • Liberté, liberté chérie… (fin)

    Liberté et unité de vie

    L'homme libre ne se laisse pas détourner de la finalité essentielle de sa nature. Il intègre chacune des composantes de son être dans le plan divin et collabore ainsi de toutes ses forces à co-racheter avec le Christ. Parfaitement conscient de sa vocation à la plénitude de la vie chrétienne, il discerne à quel point sa vocation humaine et sa vocation surnaturelle constituent un tout qu'il est convié à couler dans une « unité de vie » (lire la suite)

  • Peut-on nier l'existence historique de Jésus ?


    Actuellement, les analyses historiques les plus rigoureuses sont d’accord pour affirmer en toute certitude — y compris en faisant totalement abstraction de la foi et du recours aux sources historiques chrétiennes pour éviter toute méfiance éventuelle — que Jésus de Nazareth a existé, a vécu dans la première moitié du Ier siècle, était juif, a passé la majeure partie de sa vie en Galilée, a formé un groupe de disciples qui l’ont suivi, a suscité de fortes adhésions et espérances par ce qu’il disait et par les faits admirables qu’il réalisait, a été au moins une fois en Judée et à Jérusalem, (lire la suite)

  • Que savons-nous réellement de Jésus ?


    Nous possédons sur Jésus de Nazareth des informations plus abondantes et meilleurs que sur la plupart des personnages de son temps. Nous disposons de tout ce que les témoins de sa vie et de sa mort nous ont transmis : traditions orales et écrites sur sa personne, parmi lesquelles se détachent les quatre Évangiles, qui ont été transmises dans la réalité de la communauté de foi vivante qu’il a établie et qui continue jusqu’à nos jours. Cette communauté est l’Église, composée (lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (7)

    Liberté, vérité et charité

    Toute la conduite de Monseigneur Escriva témoigne avec éloquence de sa liberté d'esprit, qui l'amène à se soucier du jugement que Dieu portera sur ses actes sans se chagriner le moins du monde de l'appréciation des hommes. « Prenons la décision de ne jamais nous attrister si certains mettent en doute la droiture de notre conduite, s'ils interprètent de façon erronée le bien qu'avec l'aide continuelle du Seigneur nous nous efforçons de réaliser et si, jugeant mal nos intentions, ils nous prêtent de mauvais desseins et une conduite malhonnête et hypocrite. Pardonnons toujours, le sourire aux lèvres » (saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 72). Il s'ensuit une très grande compréhension à l'égard des personnes, (lire la suite)

  • Qui était Joseph d'Arimathie ?


    Joseph d’Arimathie est mentionné dans les quatre Évangiles dans le contexte de la Passion et de la mort de Jésus. Il était originaire d’Arimathie (Arimathajimen hébreu), une ville de Judas, l’actuelle Rentis, à dix kilomètres au nord-est de Lydda, lieu probable de la naissance de Samuel (1 S 1, 1). Riche (Matthieu 27, 57) et membre illustre du sanhédrin (Marc 15, 43 ; Luc 23, 50), il possédait un tombeau neuf (lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (6)

    Liberté et libertinage

    « Lorsqu'on respire une atmosphère de liberté, on comprend que mal agir n'est pas une libération mais un esclavage » (saint Josémaria, Amis de Dieu, n° 37). Comme le prêchait le saint évêque d'Hippone, privée du secours de la grâce divine, notre volonté libre ne pourra rien faire de bien. « On l'appelle libre, mais en agissant mal, elle devient mauvaise servante. Et quand je te dis que sans l'aide divine tu ne peux rien faire, j'entends rien de bon, car pour mal faire, ta volonté libre en est toujours capable sans le secours de Dieu, bien qu'elle ne jouisse plus alors de la vraie liberté : « car on est esclave de celui par qui on s'est laissé vaincre » (Psaume 2, 19). (lire la suite)