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Histoire - Page 16

  • Que s'est-il passé à la dernière Cène ?


    Les heures qui ont précédé la Passion et la mort de Jésus sont restées gravées avec une force singulière dans la mémoire et le cœur de ceux qui ont été avec lui. C’est pourquoi les écrits du Nouveau Testament conservent pas mal de détails au sujet de ce que Jésus a fait et dit au cours de son dernier repas (lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (4)

    Liberté et vision du monde

    Les philosophies classiques et modernes ont, pour leur part, appelé liberté ce qui n'était, en réalité, qu'un désir naturel, inconscient de son objet et de sa structure — de liberté aussi, certes. Désir naturel impuissant à déboucher sur des résultats précis, faute de réalisme de l'intelligence et de claire appréhension de l'ordre et du droit naturels.
    Que le monde soit l'œuvre d'une intelligence supérieure (lire la suite)

  • Les gnostiques

    Le nom « gnostique » vient du mot grec gnosis qui veut dire connaissance. Le gnostique est donc celui qui acquiert une connaissance spéciale et vit en accord avec elle. Le mot gnosis n’a donc pas un sens péjoratif. Certains Pères de l’Église, comme Clément d’Alexandrie et saint Irénée, parlent de la gnose au sens de la connaissance de Jésus-Christ obtenue par la foi : « La vraie gnose, écrit saint Irénée, est la doctrine des apôtres » (Adversus hæreses 4.33).
    Le terme gnosis a pris un sens péjoratif quand (lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (3)

    Liberté et union à Dieu

    Pourquoi le fondateur de l'Opus Dei n'emboîte-t-il pas le pas aux champions de la philosophie réflexive évoquée plus haut ? Pour une raison bien simple : il n'éprouve jamais la solitude. Quand il se regarde, il se voit en Dieu et voit Dieu en lui, devenu le temple de l'inhabitation de la Très Sainte Trinité : « Seul ! - Tu n'es pas seul. De loin, nous t'accompagnons. - Et puis..., (lire la suite)

  • La transmission des Évangiles

    Il est bien connu que nous ne possédons aucun manuscrit des Évangiles, tout comme il n’en existe aucun des livres de l’Antiquité. Les écrits se transmettaient par des copies manuscrites sur papyrus et plus tard sur parchemin. Les Évangiles et les premiers écrits chrétiens suivent ce type de transmission. Le nouveau Testament laisse déjà entendre que certaines lettres de saint Paul avaient été copiées et transmises dans un corps d’écrits (2 Pierre 3, 15-16), et il en va de même avec les Évangiles : les expressions de saint Justin, saint Irénée, (lire la suite)

  • Liberté, libertéchérie… (2)

    [Je disais que la liberté est une propriété de la volonté]

    Or la volonté peut avoir pour objet, d'une part la fin et, d'autre part, ce qui se rapporte à cette fin. Dans le premier cas, elle se porte vers la fin de façon absolue ; elle est qualifiée de voluntas ut nature, ou tendance naturelle vers le bien en général. Dans le second cas, elle se porte vers l'objet qui a rapport à sa fin parce qu'elle le compare à cette fin et qu'elle trouve en lui de la bonté (lire la suite)

  • Comment les Évangiles ont-ils été écrits ?


    L’Église affirme sans hésiter que les quatre Évangiles canoniques « transmettent fidèlement ce que Jésus, le Fils de Dieu, vivant parmi les hommes, a fait et enseigné » (concile Vatican II, constitution dogmatique Dei Verbum, « la parole de Dieu », n° 19). Ces quatre Évangiles « ont une origine apostolique. Ce que les apôtres, en effet, sur l’ordre du Christ, ont prêché, (a href="http://dominique-le-tourneau.hautetfort.com/archive/2006/01/01/comment-les-evangiles-ont-ils-ete-ecrits1.html">lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (1)

    « LIBERTÉ, LIBERTÉ CHÉRIE... » MAIS QUELLE LIBERTÉ ?

    La liberté n'est pas un droit, mais un devoir (Dostoïevski)

    Propos liminaire

    Alors qu'il est plus que jamais question de liberté — de liberté, d'égalité et de fraternité —, il n'est pas inopportun de faire remarquer que, pas plus que les autres, la Révolution française n'a le monopole de la liberté, mieux encore qu'elle ne l'a pas inventée.
    L'on pourrait même affirmer que la liberté exaltée par les apôtres des années 1789 (lire la suite)

  • Qui étaient les évangélistes ?


    Ce qui est important dans les Évangiles, c’est qu’ils nous transmettent la prédication des apôtres et que les évangélistes ont été des apôtres ou des hommes apostoliques (voir concile Vatican II, constitution dogmatique Dei Verbum, « la Parole de Dieu », n° 19). Ceci est conforme à la tradition : les auteurs des Évangiles sont Matthieu, Jean, Luc et Marc (lire la suite)

  • Qui étaient les apôtres de Jésus ?


    Une des données les plus sûres de la vie de Jésus est qu’il a constitué un groupe de douze disciples qu’il a appelés les « Douze apôtres ». Ce groupe était formé d’hommes que Jésus a appelés personnellement, qui l’ont accompagné dans sa mission d’instaurer le royaume de Dieu, qui sont témoins de ses paroles, de ses actes et de sa résurrection (lire la suite)