Simone Veil rappelle qu'une clause de conscience figure dans la loi Veil. "C'est une question éthique et pas seulement un geste médical", explique-t-elle. "La seule chose que j'avais négociée avec l'Eglise était de ne pas contraindre les médecins. C'est un point à maintenir, car on ne peut obliger personne à aller contre ses convictions. Il est de plus en plus évident scientifiquement que, dès la conception, il s'agit d'un être vivant", conclut-elle.
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