Quand saint Josémaria parle de l’importance des « petites choses », il se réfère parfois à « des petites choses spirituelles » qui sont des actes uniquement intérieurs, même si elles se réalisent à l‘occasion d’activités extérieures (par exemple, dire une oraison jaculatoire en ouvrant une porte, ou renouveler dans son cœur l’offrande du travail à Dieu) ; d’autres fois, en revanche, il pense à « de petites choses matérielles » : des actes qui ont pour objet quelque chose d’extérieur qui contribue à améliorer objectivement l’état des choses autour de nous, même si c’est à une degré minime (par exemple, remédier à une imperfection, afin de servir les autres par amour de Dieu).
E. Burckhart-J. López, Vida cotidiana y santidad en la enseñanza de San Josemaría. Estudio de teología espiritual, Madrid, Rialp, 2011, vol. 1, p. 295-296.