Au curé de Saint-Charles de Biarritz qui lui fait l'amical reproche de compromettre sa santé, il réplique :
« Ma seule raison d'être est de me tuer pour celui qui s'est tué pour moi. »
Marcel Bocquet, Père Mateo apôtre mondial du Sacré-Cœur, Paris, Pierre Téqui éditeur, éd. de 2007, p. 140-141.