Pendant la guerre 39-45, alors que, pour échapper au travail forcé en Allemagne, l'abbé Wojtyla (futur pape Jean-Paul II) se cachait dans une usine, où il travaillait comme ouvrier tout en faisant ses études de séminariste, dans la clandestinité, ses camarades ébahis témoignent l'avoir vu, sans aucun respect humain, « poser ses seaux en entendant sonner l'Angélus, s'agenouiller à même le sol, prier, se relever, puis reprendre ses seaux ».
Cité par A. Kalinowka, dans La Terre Sainte, nov.-déc. 1979, p. 244.