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  • On sent le Christ dans l'Eucharistie

    « Ô mon âme, que tu es grande, puisque Dieu seul peut te contenter ! Les trois Personnes divines habitent dans cette âme. C'est un petit ciel, lorsque Notre Seigneur vient habiter une âme pure : il est content et remplit l'âme de joie et de bonheur et lui communique cet amour généreux de tout faire et souffrir pour lui plaire. C'est bien humiliant pour Dieu de venir dans une poitrine remplie de gloire et de sang, mais c'est pour y trouver cette âme qu'il aime, qu'il a rachetée au prix de son sang. Si cette âme est pure à ses yeux, il est content, un bien extraordinaire se répand en nous, c'est Notre Seigneur qui se communique à nous », c'est ce qui lui faisait dire : « Il n'y a pas sujet de doute que Notre Seigneur est dans la Sainte Eucharistie, on sait bien qu'il y est, on le sent bien. »

    Catherine Lassagne, Le curé d'Ars au quotidien par un témoin privilégié, Paris, Parole et Silence, 2003, p. 79.

     

  • Le prêtre et l'Eucharistie

    Devenir Eucharistie, c'est le vœu et l'engagement constant du prêtre, afin que l'offrande du corps et du sang du Christ faite à l'autel soit le sacrifice de notre existence. Chaque jour nous tirons des saintes espèces un amour libre et pur qui fait de nous des ministres dignes et des témoins lumineux du Seigneur. C'est ce que les fidèles attendent du prêtre, un véritable exemple de dévotion envers l'Eucharistie. Ils aime le voir en prière et en adoration silencieuse devant le Christ, à la suite du Curé d'Ars qui sera tout particulièrement évoqué au long de l'année sacerdotale... Conscients de notre indignité et malgré nos péchés nous devons nous alimenter de l'amour que le Seigneur nous offre dans le sacrement eucharistique. Ce soir, nous renouvelons notre foi dans la présence réelle car elle n'est pas facilement acquise.


    Benoît XVI, Homélie pour la Fête-Dieu, 10 juin 2009.

     

  • 1er janvier : Maternité divine de Marie

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    Ô chose admirable ! Je contemple Marie. À quelle hauteur m'est-il donné de la voir ! Rien n'est égal à Marie sinon Dieu lui-même ! (...) De Marie, il s'est fait un Fils (le même et pas un autre !). Ainsi, de par sa nature, ce Fils est unique : c'est le Fils commun de Dieu et de Marie. Dieu a créé toutes choses et Marie a enfanté Dieu. Dieu, qui a tout fait, s'est fait lui-même de Marie, refaisant par elle tout ce qu'il avait fait dès l'origine. Dieu est donc le Père des choses créées et Marie la Mère des choses recréées. Dieu est le Père qui construit tout et Marie, la Mère de tout ce qui est reconstruit. Dieu a engendré Celui par qui tout a été fait et Marie a enfanté Celui par qui tout a été sauvé.

     

    Méditations et prières de saint Anselme.