Philippe Oswald et le Dictionnaire encyclopédique de Marie
Dans le commentaire du Dictionnaire encyclopédique de Marie, paru chez Desclée de Brouwer le 2 avril 2015, Philippe Oswald écrit sur Aleteia :
"Vous allez adorer – pardon, vénérer ! – le Dictionnaire encyclopédique de Marie. [...] Une cathédrale ! On y entre, comme dans tout dictionnaire, par n’importe quelle porte et l’on s’y promène, de trouvaille en trouvaille, de ravissement en ravissement, en ne souhaitant qu’une chose : ne plus en sortir."
Il souligne plus loin que le Dictionnaire encyclopédique de Marie "permet de parcourir une véritable « géographie » de la présence mariale sur deux millénaires et cinq continents, mais encore un large éventail de disciplines".
Après avoir évoqué la préface du cardinal Barbarin, il ajoute que "toutes les occasions sont bonnes pour s’émerveiller : les sanctuaires, oratoires, chapelles, ermitages, églises, collégiales, basiliques, cathédrales placés sous un vocable marial, les chefs-d’œuvre de sculpture, de mosaïque, de peinture, de littérature qu’elle a inspirés, les poèmes comme les traités théologiques qui lui sont dédiés, sans oublier la musique et le cinéma le plus contemporain, et jusqu’aux endroits les plus improbables", ces « ténébreux tréfonds » [qu'évoque Didier Decoin, de l'académie Goncourt, dans la quatrième de couverture] que sont Notre-Dame des houillères de Ronchamp, ou la fosse Notre-Dame de la Compagnie des mines d’Aniche, que vient visiter et éclairer « l’Étoile du matin ». Oui, a-t-on envie de chanter en virevoltant d’entrée en entrée (il y en a 6 500 !), « Reste avec nous, Marie », toi dont le « oui » a fait entrer Dieu dans le monde, toi dont l’humilité a terrassé Lucifer.
D'autre part, Philippe Oswald est d'avis que l'on "peut déjà prédire sans risque d’être démenti que ce Dictionnaire encyclopédique de Marie, qui "s’adresse aux amateurs, au sens véritable et profond de ce terme, comme aux spécialistes des diverses disciplines mobilisées par cette somme théologique et artistique de culture mariale", "deviendra un « classique », un fleuron incontournable et indémodable, usé à force d’être consulté, de toute bonne bibliothèque".
Bonne lecture en ce mois de Marie qu'est le mois de mai (on verra l'origine de cette dévotion à la notice correspondante).