(dans la débâcle de 1940), un riche marchand de tableaux y trouva une mort brutale, tué par le sac d’or qu’il avait posé derrière sa tête et qui, dans un coup de freins, lui brisa les vertèbres.
Maurice Druon, Mémoires II. C’était ma guerre, ma France et ma douleur, Paris, Plon, Éditions de Fallois, 2010, p. 30.