C’est à cette écolière dissipée que revint l’honneur une fois de présenter le bouquet de la saint Jean-Baptiste. « Ô mon enfant, dit le saint en acceptant les fleurs, un Ave vaut mieux que tout cela. »
Fr. Trochu, Le Curé d’Ars Saint Jean-Maris-Baptiste Vianney (1786-1859), Lyon-Paris, Emmanuel Vitte, 1929, p. 435.