C'est les bonnes larmes, les profitables, celles qui, à mesure qu'elles coulent, vous lavent un peu plus le cœur.
C.-F. Ramuz, La Guérison des Maladies, Paris, 1924, p. 251.
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C'est les bonnes larmes, les profitables, celles qui, à mesure qu'elles coulent, vous lavent un peu plus le cœur.
C.-F. Ramuz, La Guérison des Maladies, Paris, 1924, p. 251.