On doit distinguer entre l'erreur, qui est toujours à rejeter, et l'homme qui se trompe, qui garde toujours sa dignité de personne, même s'il se fourvoie dans des notions fausses ou insuffisantes en matière religieuse.
Concile Vatican II, constitution pastorale sur l'Église dans le monde de notre temps <em>Gaudium et spes</em>, n° 28.