Le Concile de Trente distingue, à côté de la communion sacramentelle et spirituelle, la communion purement spirituelle. L’action de grâces est une communion spirituelle unie au sacrement. La communion purement spirituelle a l’avantage de pouvoir être faite […] à l’importye quelle heure du jour et de la nuit. […] « À l’humble Sœur Paula Maresca, le Seigneur Jésus montrait deux vases précieux, l’un d’or et l’autre d’argent. ‘Dans le vase d’or, dit-il, je conserve vos communions sacramentelles et dans le avse d’argent vos communions spirituelles’ (saint Alphonse de Liguori, La véritable Épouse de Jésus-Christ 18) ».
F. Charmot, S.J., La Messe source de sainteté, Paris, Spes, 1959, p. 229 et 231.