Y a-t-il rien de plus grand pour la bassesse de l'homme que d'être uni à Dieu, de devenir Dieu par cette union, d'être « visité d'en-haut par le soleil levant » (Luc 1, 78), si bien que « l'être saint qui prend naissance s'appelle le Fils du Très-Haut » (Luc 1, 32.35), et qu'il reçoit « un nom qui est au-dessus de tout nom » (Philippiens 2, 9) ?
Saint Grégoire de Nazianze, IVe discours théologique 3.