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Femme - Page 2

  • Marie-Madeleine : ce que les Évangiles en disent

    Ce que nous connaissons sous le nom d’Évangile de Marie est un écrit gnostique rédigé à l’origine en grec et que nous avons reçu par deux fragments d’un papyrus du IIIème siècle, trouvés à Oxirrinco (Égypte) et une traduction en copte du Vème siècle. Ces textes ont été publiés entre 1938 et 1983. Il est possible que l’ouvrage ait été composé au IIème siècle. Il présente Marie (a href="http://dominique-le-tourneau.hautetfort.com/archive/2006/01/31/marie-madeleine-ce-que-les-evangiles-en-disent1.html">lire lasuite)

  • Qui était Marie-Madeleine ?

    Les données que les Évangiles nous fournissent sont peu nombreuses.
    Luc 8, 2 nous informe que parmi les femmes qui suivaient Jésus et l’assistaient de leurs biens se trouvait Marie-Madeleine, c’est-à-dire une femme appelée Marie, qui était originaire de (lire la suite)

  • Jésus était-il célibataire, marié ou veuf ?


    Les données que les Évangiles conservent nous disent que Jésus a rempli son métier d’artisan à Nazareth (Marc 6, 3) et qu’il avait environ trente ans quand il a commencé son ministère public (Luc 3, 23). Pendant le temps de ce ministère, des femmes le suivent (Luc 8, 2-3) tandis que d’autres ont des liens d’amitié avec lui (lire la suite)

  • Un féminisme chrétien

    En cette Journée de la femme, je mentionne mon article « un féminisme chrétien » paru dans une revue qui n’existe plus, Cedrus Libani, 55, Automne 1997, p. 4-5 et publié récemment en portugais sous le titre « Um feminismo cristão », Celebração Liturgica. Revista de Liturgia e Pastoral 35 (2003-2004) n° 3, p. 574-578. Il figure aussi sur mon site. J’en cite juste un bref extrait : « C’est vers une femme que l’Église se tourne continuellement. Vers la Femme, par excellence, la seule créature humaine à n’avoir pas été marquée par le péché originel, en raison du choix que Dieu avait fait d’Elle pour être la Mère de son Fils, notre Rédempteur. La Femme, sans laquelle les chrétiens ne seraient rien, car elle nous a vraiment engendrés à la vie surnaturelle et aussi parce que Dieu l’a instituée médiatrice de toutes les grâces : aucun secours divin, aucune aide spirituelle ne nous est accordé indépendamment d’Elle. Aucun féminisme ne va aussi loi. Aucun féminisme ne peut même envisager un tel radicalisme. Ce qui fait que la religion catholique est l’archétype d’un sain féminisme, dépourvu de toute revendication étriquée et tout entier orienté vers la finalité ultime de l’homme, qui consiste à reconnaître et aimer Dieu, à le servir et le glorifier pour les siècles sans fin. »