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L’avent et Jean-Baptiste

L’Avent de Jean se manifeste par une attitude particulière : il dit « Je ne suis pas digne de dénouer la courroie des sandales de Celui qui vient après moi » (cf. Jean 1, 27).

Ceci est une tâche très importante. L’Avent signifie en effet une attitude. Il s’exprime par une attitude.

Près du Jourdain, Jean définit cette attitude en disant les paroles que nous avons rapportées. Par ces paroles nous savons ce qu’il pense de lui-même ; ce qu’il pense être devant celui qu’il annonce. On sait qu’il incombait au serviteur de délier la courroie des sandales de son maître. Et Jean dit : « Je ne suis pas digne de délier la courroie de sa sandale. » Je ne suis pas digne ! Il se sent moins qu’un serviteur.

 

Jean-Paul II, Homélie, 13 décembre 1981.

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