L'aboutissement ou le fruit de la sainte Écriture n'est pas quelconque, c'est la plénitude de l'éternelle félicité. Car elle est l'Écriture dans laquelle sont les paroles de la vie éternelle, elle est donc écrite, non seulement pour que nous croyions, mais aussi pour que nous possédions la vie éternelle dans laquelle nous verrons, nous aimerons et où nos désirs seront universellement comblés.
Saint Bonaventure, Breviloquium, prologue, n° 4.